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 Ville de Copher

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Drenhon
Seigneur bretonnien niveau 3
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Drenhon


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Localisation RP : La cité-temple de Tlaxtlan
Dispo pour RP : Nan, je cherche le Graal pour retrouver mon estime en moi...

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MessageSujet: Ville de Copher   Ville de Copher Icon_minitimeLun 25 Fév - 23:17

A son réveil après cet étrange rêve aux étranges accents de prémonition dans lequel il pensait avoir vu le Graal dans les mains de la Dame, Erik entendit un étrange murmure dans sa tête: une voix féminine qui lui souffla: "Lustrie, Choktak"
Ces mot n'avaient aucun sens pour lui, mais il sentait qu'ils étaient importants et il s'empressa de les graver dans sa mémoire.
La Lustrie... Jamais il ne se serait attendu à ce que cette quête le mène jusque là... Il allait devoir faire un énorme trajet afin d'y parvenir.
Et Choktak... Aucune idée de ce que cela pourrait être... Un autochtone, un lieu, un artéfact... Il faudra le découvrir là-bas...
Il lui faudrait trouver un navire qui ferait la longue traversée, et il décida de tenter sa chance à Brionne, malgré les risques que cela impliquait.
Il allait aussi continuer à se faire passer pour un anonyme: il pensa pouvoir se faire passer pour un mercenaire en quête d'emploi, il lui fallait donc vendre son armure, d'autant plus que la bourse qu'il avait emporté n'était pas aussi garnie qu'il l'aurait voulu.
Mais il ne pouvait pas la vendre dans un périmètre trop proche de son domaine, ou la rumeur tournerait dans toutes les bouches en moins d'une semaine.
Le mieux serait de la vendre une fois rendu à Brionne où il trouverait surement un acheteur intéressé. Cependant, voyager avec son armure sans pouvoir la mettre était loin de l'enchanter, mais il lui faudrait bien faire avec.
Il s'acheta un cheval, pas aussi bon qu'il l'aurait voulu, mais il devrait le laisser à Brionne, et il ne pouvait pas prendre le risque d'être démasqué en achetant un cheval largement au-dessus de ses moyens supposés.
Il dépensa le restant de sa bourse afin de s'acheter un équipement de cuir complet sous lequel il gardait sa cotte de maille ce qui collerait à sa profession, ainsi qu'un dague de facture correcte
Il était prêt, et ce fut le début de son aventure: il quitta Roc-aux-Loups avec un tiraillement au coeur, car il aurait aimé pouvoir revoir sa famille, peut-être pour la dernière fois, mais son honneur le lui interdit. Il s'était fait un serment et il comptait bien s'y tenir.
Il partit donc vers l'est en progressant à bonne allure. Il ne lui arriva rien de notoire, mais il se rendit compte du point auquel l'aventure lui avait manqué: il se sentait revivre à chaque instant, voyageant de l'aube jusqu'à la tombée de la nuit. Ses passages dans de petits villages lui permirent de perfectionner son rôle de reître.
Lorsqu'il arriva à la périphérie de Brionne, il chercha une écurie dans laquelle vendit son cheval pour une bouchée de pain: il n'avait pas l'habitude du marchandage, et le regard que lui lança le maître d'écurie lui fit comprendre qu'il s'était surement fait embobiner...
Il se dirigea ensuite vers les quais où il chercha à se renseigner sur les départs de bateaux: ce fut une désillusion, il espérait que des navires s'élanceraient directement vers la Lustrie, mais il apprit vite qu'il lui faudrait décomposer son trajet en plusieurs étapes.
Au bout de deux jours, il finit par trouver un capitaine marchand qui accepta de l'engager comme garde, et même de lui racheter son armure. Voyant que son interlocuteur ne lui posait pas la moindre question sur la provenance de la-dite armure, il comprit que ce dernier était habitué à voir circuler des objets insolites et à la provenance douteuse. C'était même peut-être un contrebandier, mais il n'avait pas d'autre choix.
Le trajet était de Brionne à Copher, avec une escale à Bilbali et il toucherait un salaire misérable pour assurer la protection du navire. Une fois arrivé à Copher, il lui faudrait trouver un bâtiment en partance vers Lustrie.
La première étape du trajet se déroula sans problème, et il profita de son temps libre pour mettre en pratique ses exercices de renforcements et pour s’entraîner au combat face aux autres gardes .Ils arrivèrent à Bilbali en une semaine, grâce aux vents favorables qui les poussèrent vers l'Est.
L'escale devait durer une semaine afin de permettre au marchand de vendre un part de sa marchandise. Le bretonnien servait de garde du corps ainsi que de vigile pour le marchand pendant les ventes. Il eu de nombreuses fois à faire avec des voleurs, et le capitaine n'eu qu'a se féliciter de sa présence. Néanmoins, Erik sentait que le regard de se dernier se posait sur lui bien plus que de raison, et il commençait à craindre d'être découvert.
Il repartirent à la fin de la semaine, et le comportement de son employeur était de plus en plus suspect. Le comte trouvait que le bateau se dirigeait bien plus vers le sud qu'il ne l'aurait dut, mais n'y connaissant rien à la navigation il ne put savoir si cela était justifié ou non.
Il eu sa réponse lorsqu'une nuit, il sentit le bateau accoster alors qu'il se reposait. L'arrivée n'était prévue que pour dans deux jours, et il fut instantanément à l’affût, prêt à en découdre si il le fallait. Soudain, le capitaine fit son apparition dans la cale où il se reposait, et il était accompagné des quatre autres gardes du navire/
-"Rends-toi sans faire d'histoire et nous ne t’abîmeront pas trop" cria-t'il
-"Que me voulez vous? Pourquoi avons nous accostés?"
-"Silence sale chien! Je voit clair en ton jeu!"
Il s’apprêtait à entendre l'homme le démasquer en temps que Comte du Loup, ainsi fut-il extrêmement surpris lorsqu'il l'entendit dire:
-"Tu n'est qu'un rat qui a assassiné son seigneur et tu tente de fuir la justice qui te recherche en Bretonnie! Je suis sur que nous tirerons un bon prix de ta vie, à moins que tu ne décide de me payer gracieusement afin que je te laisse ta liberté?"
C'est les déductions qu'il a tiré de la vente de mon armure et de ma vigilance: il me prend pour un assassin!
-"D'accord d'accord, je vais payer!répondit-il Combien coûtera ma liberté?"
L'homme fit semblant de réfléchir:
-"Hmmm... Disons ta bourse... Et ton salaire...Et ton équipement"
-"D'accord, voici ma bourse tenez la voilà"
Il s'approcha de l'escroc en lui tendant sa bourse. Heureusement pour lui, les autres gardes n'avaient pas son expérience, et ils ne virent pas que pendant que sa main droite tendait la bourse, la gauche se glissait le plus doucement possible vers sa dague dont il cacha la lame contre son avant-bras.
Lorsqu'il se fut suffisamment rapproché, il lui saisi le bras, tira dessus pour l'attirer à lui, et en le lui tordant, le placa devant comme bouclier avec la dague pointée sur sa gorge.
Erik cria:
-"Au moindre geste je le tue! Lâchez vos armes!"
Les hommes tenaient manifestement à leur salaire, puisqu'il posèrent immédiatement leurs armes au sol, sans opposer la moindre résistance. Le bretonnien réfléchi aussi vite que possible:
Je ne peux pas me permettre de le tuer, mais je ne peux pas non plus le libérer... Que faire?...Apparemment, je vais devoir me débrouiller dans un territoire que je ne connais absolument pas, et dans lequel je serais très mal vu.
En effet, il se doutait que le bateau devait avoir accosté sur les côtes d'Arabie, entre Hal-Haikk et Copher, et la haine des arabiens envers les bretonniens était légendaire.
Bah à leurs yeux je dois pouvoir aussi bien être bretonnien qu'impérial.
Il savait ce qu'il allait faire. Il accentua la pression de sa dague contre la gorge de son otage, et désigna l'un des gardes:
-"Toi, vas me chercher deux semaines de vivres dans un grand sac"
-"Fais ce qu'il te dit" implora le capitaine, qui venait de compisser ses chausses
Une fois qu'il eu récupéré son sac de vivres, il descendit du bateau et fini par relâcher son otage d'une poussée qui l'envoya bouler au sol
-"Voilà ce qu'il en coûte, de s'opposer à Ser Erik le Brave! Que cela te serve de leçon, et fasse en sorte que je n'ai plus jamais à revoir ton ignoble face de rat!"
L'homme lui opposa une tête choquée, il venait de s'attirer la colère d'un chevalier bretonnien, alors qu'il pensait n'avoir à faire qu'à un reître s'étant retourné contre son maître.
Puis le Comte les planta là, et continua son chemin à pieds.
Il dut bientôt regretter le doux confort du bateau par rapport à la marche nocturne dans le sable, mais il ne pouvait se permettre de s’arrêter sans être sur que le bateau ne soit repartit au loin.
Il ne le regretta qu'encore plus lorsque le soleil fut levé, et qu'il eu l'impression de cuire sur place.
C'est à ce moment qu'il se félicita de s'être débarrassé de son armure, et qu'il décida de se déplacer de nuit, s’abritant sous des rochers pendant la plupart du temps de la journée.
Il avança donc bien moins vite que prévu, et il était déjà à cours de nourriture depuis deux jours lorsqu'il arriva en vue de Copher.

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Drenhon
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MessageSujet: Re: Ville de Copher   Ville de Copher Icon_minitimeMar 26 Fév - 11:35

Il se fit arrêter par les gardes aux portes de la ville:
-"He, toi là! Qui es-tu? Que viens-tu faire à Copher?"
-"Je ne suis qu'un mercenaire impérial qui veux se faire engager comme garde à bord d'un navire."
-"Voyez-vous ça, un mercenaire impérial qui arrive à Copher seul et à pied tu trouves pas ça louche Burt?"
-"Bah non, moi je suis bien le Rajah qui aime garder ses propres portes de ville"

Ils partirent dans un éclat de rire, et alors qu'Erik se demandait comment il devrait réagir, le dénommé Burt l'attrapa fermement par le bras. Erik lui envoya un formidable crochet dans la mâchoire... Tout du moins le voulut-il, mais il était affamé et harassé, et son coup (qui n'était pas aussi formidable qu'il aurait dut l'être) vint s'écraser sur le plastron de métal que portait son opposant. Il fut aussitôt assommé par derrière.
Il se réveilla allongé dans une cellule crasseuse, uniquement dotée d'un botte de paille crottée et d'un minuscule trou laissant passer la lumière. Il vit qu'il disposait d'un pichet rempli d'une eau vaseuse, ainsi que d'une miche de pain rassi qu'il s'empressa de dévorer. Alors qu'il finissait de manger, il entendit un chuchotement venir de la cellule voisine. Il tenta de voir qui lui parlait, mais les barreaux étaient trop resserrés pour qu'il puisse y passer la tête. Ils ne pouvaient que se parler, et à la rigueur, se tendre les bras l'un vers l'autre au travers des barreaux. Son compagnon d'infortune lui adressa à nouveau la parole:
-"Et toi , le nouveau, d'où tu viens?"
Ne sachant pas si il pouvait se fier à l'autre, il décida de garder son rôle:
-"Empire..."
-"Ça alors, un compatriote en cellule! C'est...."
Ils se tirent en entendant des gardes arriver. Ceux-ci traînèrent Erik jusqu'à un isoloir, où il fut interrogé par leur chef:
-"Quelle est la réelle raison de ta venue à Copher étranger?"
Il ressortit la version qu'il avait donné aux portes de la ville, mais elle ne fut apparemment pas du gout de son interlocuteur, et il y gagna une joue enflée.
-"N'essaye pas de jouer au plus malin avec moi! D'où tu viens?"
-"Je vous l'ai déjà dis, ..."

Le coup de cravache qu'il reçu lui ouvrit l'arcade.
Le chef des gardes décida qu'il n'était pas "mûr" et qu'il le réinterrogerait plus tard. Les gardes le conduisirent jusqu'à sa cellule, sans autre sans qu'un coup de genoux dans l'entrejambe.
De retour en cellule, il eu tout son temps pour apprendre à connaître son compagnon:
Il s'appelait Karl, et c'était le capitaine d'un navire marchand venant de Marienburg. Il était réputé pour ses produits de luxe, et les nobles de tout les ports où il accostait s'arrachaient ses marchandises à prix d'or. Cela n'était pas du gout des locaux, qui s'arrangèrent pour que les gardes de la ville trouvent un stock d'opium caché dans ses cargaisons, ce qui le conduisit en prison.
Lorsqu'ils virent que leurs intérêts étaient communs, ils passèrent un marché: Si Erik aidait Karl à se libérer, ce dernier le conduirait jusqu'en Lustrie.
Ils passèrent toutes leurs journées à élaborer des plans.
Le bretonnien apprit aussi la raison de sa présence en prison: les gardes le prenaient pour un assassin (décidément...) envoyé par un Cheik rival.
Au bout de deux semaines, ils tenaient leur plan: Erik arrêta de manger ses rations, et ils se partagèrent celles de Karl. C'était dur, mais c'était leur meilleur chance de salut. Il s'était aussi entraîné à contrefaire la voix du capitaine de manière étonnamment réaliste.
Au bout de trois jours, les gardes emmenèrent l'homme pour un nouvel interrogatoire, pensant qu'il avait cédé, et qu'il allait passer aux aveux.
Il se laissa traîner, et lorsqu'il arriva devant le capitaine, il resta muet pendant un quart d'heure, malgré les coups portés par les gardes sous le regard de leur chef. Ce dernier fini par leur ordonner de sortir, il n'aurait pas besoin d'eux pour interroger un sale rat qui n'avait pas mangé durant trois jours.
Parfais, rentres dans mon jeux.
-"Alors sale chien tu vas te décider à parler?"
Erik émit des marmonnements incompréhensibles dans le but d'attirer son tortionnaire. Cela fonctionna, et lorsqu'il fut suffisamment proche, il sauta sur ses jambes, et pris la gorge de son adversaire dans son coude tout en se plaçant derrière lui, et il serra aussi fort qu'il le put, tout en tirant le garde vers le haut. Les pieds de celui-ci ne touchaient plus le sol, et il décocha des ruades dans les tibias du bretonnien qui tint bon. Lorsqu'il ne sentit plus de résistance, il imprima une nouvelle pression sur la trachée de son ennemie et le posa doucement au sol. Il le délesta de sa dague, qu'il jugea plus adaptée à la situation que son étrange cimeterre. Il récupéra de même les clés de la prison. Il adressa une prière à la dame pour la remercier de ce qu'elle lui avait déjà permit d'accomplir, et lui demander de continuer à veiller sur lui pour l'aider dans ce qu'il allait faire.
Puis il ordonna aux gardes d'entrer en imitant la voix de leur chef, et en se cachant à coté de la port. Ils étaient trois, et le combat pourrait être rude? Mais il n'avait pas le droit à l'échec si il ne voulait pas croupir en prison pour le restant de ses jours.
Lorsque le deuxième fut rentré il lui sauta dessus et l'égorgea. Le troisième porta un coup vertical de son cimeterre, mais Erik roula sur le coté de manière à ce que le coup finisse dans le premier des gardes. Encore à genoux, il lança sa dague de toute ses force sur le dernier garde, et la garde de celle-ci vint frapper son adversaire au front, ce qui le laissa groggy assez longtemps pour permettre au comte de lui faire subir le même sort que son chef.
Il alla retrouver Karl, et put enfin voir le vrai visage de ce dernier: courtaud et chauve, on pouvait immédiatement voir que ce n'était pas un guerrier. Il lui donna les clés de manière à ce qu'il puisse libérer son équipage qui était enfermé non loin, ainsi qu'une dague récupérée sur l'un des gardes. Lui devait chercher l'endroit où son matériel était stocké. Il le retrouva dans la chambre du capitaine de la garde, et put enfin sentir à nouveau le poids de sa lame au creux de ses mains, ainsi que la présence réconfortante de sa cotte de maille et des ses protections de cuir. Cela ne valait pas une bonne armure de plaque, mais c'était déjà ça.
Ils se retrouvèrent à l'entrée de la prison, lui et Karl, ainsi que les dix compagnons d'équipage de ce dernier tous s'étaient armés du mieux qu'ils avaient put sur les corps des membres de la garde qui avaient croisés leur chemin.
La sortie en force qu'ils effectuèrent fut mémorable: ils déboulèrent dans le marché et se ruèrent vers les quais. Ils investirent le navire de Karl, pendant qu'Erik retenait tant bien que mal les gardes qui se lançaient à leur poursuite. Pendant que l'équipage dénouait les cordages, Karl envoya deux d'entre eux pour mettre le feu aux bateaux les plus proches. Lorsqu'ils furent revenus sur le bateau, Erik monta à bord, et fit tomber la passerelle ainsi que les gardes qui se trouvaient dessus.
"Roc-aux-Loups" Hurla-t-il comme cri de guerre.
Karl lui lança un regard étonné, mais il n'avait pas le temps de se préoccuper de cela pour l'instant. Il beugla ses ordres, et le navire s'en fut. Erik était partit pour la dernière étape de son voyage.
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