Gisoreux

La Waaaaaagh était à présent quasiment arrivée, au loin commencèrent à apparaitre les immenses tours de la cité. Grossklak souriait en pensant que bientôt on ne les verrai plus d'aussi loin, voire même qu'on ne les verrais plus du tout. La horde immense d'orques recouvrait entièrement la plaine menant à la cité. Apparemment les défenses n'étaient pas encore en place et il ne fallait pas leur laisser le temps d'entrer dans la ville pour la protéger.

"On s'les entoure. Restez pas à portée de tir et tout ce qu'est pas vert vous tuez, que ça rentre ou que ça sorte."

La cité fut rapidement totalement coupée du reste du monde, ses défenseurs ne pouvaient plus compter que sur eux même si ils désiraient la protéger. Grossklak avait attendu ce moment si longtemps qu'il fit une pause pour en profiter.

*Les hommes vont tous crever, c'est moi le boss, le big boss.*

Tous les orques étaient prêt pour l'assaut et ils avaient du mal à ne pas se jeter sur les murailles même en sachant que cela n'aurait servi à rien car il fallait d'abord faire une brèche. Gisoreux possédant une triple enceinte, il faudra même faire trois brèches avant de pouvoir attaquer l’intérieur. Les lances rocs se mirent donc en position, tout autour des murailles. Grossklak avait fait de grosses réserves de projectiles, et même si de nombreux gobelins étaient morts de fatigue en les transportant, il allait à présent pouvoir les utiliser en faisant tirer ses machines de guerre sans interruption. Il devait être le milieu de la journée quand les lances rocs commencèrent à tirer. Les destructions qu'ils causèrent dans la cité furent énormes même si la plupart des tirs ne causaient que des dégâts mineurs. Le soleil commençait à décliner quand la première enceinte s’effondra, sous les cris rageurs des orques.

"Bien, passez aux rocs enflammés."

La nuit tombant, Grossklak ne désirait pas faire cesser les tirs, bien au contraire, et grâce aux projectiles enflammés, il pourrait même assister au spectacle. Un déluge de pierres et de flammes s’abattait à présent sur Gisoreux, dont les chevaliers n'avaient encore tenté aucune sortie. A ce rythme, la cité n'allait pas pouvoir résister longtemps, et dès que ses murailles ne la protégeront plus, un déluge d'orques s’abattra sur elle avec violence.

Les lances rocs étaient restés en action toute la nuit, projetant des projectiles enflammés sans interruption sur la cité fortifiée de Gisoreux. Au petit matin, lorsque les premiers rayons du soleil pointèrent le bout de leur nez, le second mur d’enceinte s'effondra. L'armée entière poussa des hurlements bestiaux de joie, ils sentaient le moment de l'attaque en force se rapprocher et ils n'en pouvaient plus d'attendre. Cette attente allait être moins longue encore que ce qu'ils espéraient. Grossklak était resté toute la nuit aux cotés d'une machine de guerre, pour assister au spectacle en étant aux premières loges. d'un coup le gobelin activant la machine de guerre se tourna vers lui, ayant l'air inquiet pour sa survie.

"Heu..y a pu d'roc chef..."

Croyant tout d'abord à une mauvaise blague, Grossklak regarda les autres lance rocs pour vois si ils s'étaient aussi arrêtés de tirer, et en effet plus aucun n'avait de projectiles à balancer... Le chef de guerre fut pris d'une rage immense et il plaça le gob à la place de la pierre avant de faire feu, l'envoyant voler en plein milieu de la cité. Il détruisit ensuite la machine d'un violent coup de massue avant d'hurler ses ordres.

"Les géants, vous détruire la muraille qui reste. Foncez!!!" Les boys vous bougez pas!!!"

Les géants se réveillaient à peine, ils avaient dormi toute la nuit, ne comprenant pas trop ce qui se passait. L'ordre donné par Grossklak les fit sortir du coltar et ils l’exécutèrent avec joie. Ils chargèrent en courant aussi vite qu'ils le pouvaient la dernière muraille qui défendait la ville fortifiée. Dès qu'ils arrivèrent à une centaine de mètres, du haut des murs apparurent une multitude d'archers bretonniens qui avaient attendus d'être à porté avant d'ouvrir le feu. Leurs arcs longs tirèrent une volée de flèches si nombreuses qu'elles assombrirent le ciel. Les géants ne ralentirent pas leur course pour autant, ne craignant en rien les minuscules projectiles des humains. N'étant pas difficiles à viser, ils furent tous touchés par une multitude de flèches mais comme ils avaient prévus, les tirs n'étaient pas assez puissants pour leur causer de graves blessures. Seul l'un d'entre eux fut touché dans l’œil. Dans un hurlement de douleur, il balança la massue qui lui servait de tronc d'arbre dans une direction aléatoire. Elle fonça droit sur les orques commandés par le chef Gorbad eul' Découpeur. Il reprit ensuite sa course ivre de rage. Le reste des géants arrivait à quelques mètres de la muraille lorsque les archers tirèrent leur seconde salve, cette fois ci presque à bout portant. La puissance et la précision étant bien plus élevés, la moitié des géants tombèrent suite à leurs blessures. Les survivants entrèrent dans une rage folle et, une fois arrivés au contact des murailles, ils ne tentèrent pas de les détruire mais ils attaquèrent les archers retranchés. Malheureusement pour les pauvres humains, les géants n'avaient pas besoin d'échelle ou de tour de siège pour être à leur hauteur. Un d'entre eux balaya entièrement la ligne d'archers situés devant lui d'un large coup circulaire avec son arme, il s'en prit ensuite à la muraille de toutes ses forces. Un peu plus loin, un autre les attrapait un par un pour les balancer sur ses camarades humains, dans un fou rire digne d'un géant bourré. Un autre à coté les attrapait pour se les fourrer dans la bouche et les manger. Enfin, chacun avait sa technique mais rares étaient ceux qui suivaient les ordres en s'attaquant à la muraille. Grossklak fulminait au loin, il hurlait ses ordres qui n'étaient pas entendus à cause du fracas des combats. Si les géants ne parvenaient pas à abattre la dernière muraille, le reste de l'armée ne serait pas en mesure d'attaquer et de prendre la cité. Confiant peut être trop dans l'efficacité de ses lances rocs, il n'avait pas fait construire de tour de siège à ses gobelins, tout reposait donc à présent sur ses abrutis de géants. Pour se calmer il enfonça un de ses hommes dans le sol à coup de massue.

Au contact des murailles, les unités d'archers avaient toutes été balayées et les géants n'ayant plus rien à faire commencèrent enfin à marteler la muraille pour tenter de la faire effondrer. Ils frappèrent sans être dérangés quelques secondes mais d'un coup une fine silhouette féminine fit son apparition en haut des murailles. Elle se concentra quelques instants avant de lancer le sort lance d'ambre sur un des géants. La lance le transperça de part en par avant de s'enfoncer dans le sol et d'y disparaitre. Il s’agissait donc d'une enchanteresse maitrisant de domaine magique de la bête. Elle fit preuve une nouvelle fois de ses talents en utilisant le sort transformation de Kadon pour se transformer en manticore sauvage. Elle vola en direction d'un autre géant et l'attaqua à la gorge d'une telle force qu'il tomba mort à son tour. Il ne restait plus que deux géants survivants et les deux se jetèrent en même temps sur la manticore. Le comba fut extrêmement violent mais la manticore fut enfin abattue, non sans avoir blessé gravement un autre géant qui se vidait de son sang. Morte l'enchanteresse reprit forme humaine, elle s'était sacrifiée pour tenter de sauver Gisoreux, la Dame du lac serait la récompenser pour cette acte de bravoure. Les deux survivants reprirent leur attaque sur la muraille qui commençait à s’effriter. Le blessé frappait avec l'énergie du désespoir mais sa vue commençait à se troubler.

N'écoutant que leur courage et tentant de faire preuve de leurs talents, une grande unité de chevaliers errants sortit de la cité par le pont levis qui se releva dès que le dernier eut traversé. Ils chargèrent en hurlant en direction des géants qui tapaient de toutes leurs forces la muraille qui était prête à céder. Plus qu'un coup et elle s’effondrait, mais ils devaient faire face à la charge qui leur arrivait dessus! Les chevaliers errants hurlèrent un cri de guerre et pointèrent leurs longues lances en direction des monstres ennemis. Les géants tentèrent bien de parer l'attaque mais ils en furent incapables. Ils furent violemment embrochés de toutes part et s'écroulèrent sur le sol. Fous de joie, les jeunes chevaliers avaient sauvé leur cité, ils insultèrent l'armée orque tout en se félicitant eux même pour leur acte héroïque digne de figurer dans les récits futurs. Ils étaient fous de joie lorsque, dans un dernier soupir et dans un geste instinctif, un des géants frappa sans faire express sur la muraille, la faisant s'effondrer dans une nuage de poussière. Le regard de Grossklak s'illumina, lui qui croyait tout perdu sentit ses forces lui revenir d'un coup. Il hurla l'ordre attaque générale:

"Waaaaaagh!"

La dernière enceinte s'effondra dans un bruit apocalyptique. Une fois la fumée dissipée, on pouvait désormais voir une immense brèche dans la cité fortifiée, et les humains terrorisées à l'intérieur tentant de préparer les défenses et de combler la brèche.

Un hurlement puissant se fit alors entendre dans la plaine.
"Waaaaaagh!"

Krossklak avait enfin donné l'ordre d'attaquer. Les peaux vertes chargèrent en poussant des cris de joie et de carnage, le sol tremblant sous leurs innombrables pas. Gorbash chargea également à la tête de sa tribu, plus que pressé de rependre le sang des bretonniens.

Malgré leurs défenses réduit à néant, les hommes avaient encore des ressources. Les archers restant lancèrent une volée de flèches abattant de nombreux peux vertes. Les grand chef donnèrent l'ordre de riposter et de nombreux gobelins lâchèrent des volées assombrissant le ciel, qui abattirent nombre de bretonniens dans la forteresse. Les chevaliers errants qui avaient vaincus les géants firent face à l'immense horde verte qui déferlait sur eux. N'écoutant que leur courage, ils baissèrent leurs lances de cavalerie et chargèrent droit sur la horde à Gorbash. Voyant les chevaliers foncer tête baissée, Gorbash sourit d'un air des plus sanguinaire.
Eh lé gobz! Mété vous en premièr' ligne!! hurla le chef de guerre.

A ces mots, les gobelins de la nuit se mirent en première ligne en se dirigèrent droit sur les chevaliers. Bizarrement, les gobelins n'avaient pas l'air apeurés, chose des plus rares parmi les gobelins. Mais les jeunes chevaliers étaient bien trop fougueux et téméraires pour voire le piège qui les attendaient. Au moment où ils n'étaient plus qu'à cinquante mètres, cinq gobelins maniant d’énormes boulets sortirent des régiments droit vers les chevaliers errants. Ces derniers ne purent pas arrêter leur charge et le choc fut inévitable. Des membres volèrent de partout, et le sang gicla en abondance. Les chevaliers errants furent broyés et écrasés sous les énormes boulets, et trois fanatiques continuèrent leur course vers la cité, deux d'entre eux étant mort sous les sabots des chevaux. Les fous furent finalement arrêté par une charge de chevaliers du royaume qui avaient également fait une sortie. Malgré de nombreuses pertes, ils parvinrent à découper les fanatiques, et se regroupèrent pour lancer une charge vers la marrée verte.

Sur ordre de Grossklak, un régiment de chevaucheurs de sangliers partit à la rencontre des chevaliers, dans le but des les intercepter. La mêlée fut sanglante, mais finalement la puissance des sangliers et la supériorité numériques des orques fit la différence. La horde ne ralentit donc pas et atteignit finalement l'enceinte. Dans la brèche, un bataillon d'hommes d'armes avait pris place, lances pointés vers l'extérieur. Derrière eux, des archers lâchèrent à nouveau une volée de flèches, faisant à nouveau tomber d'autres peux vertes. Mais ils ne ralentirent toujours pas. Au devant de la horde, Gorbash fonça à la tête de ses orques noirs, les flèches ricochant sur leurs armures lourdes. Levant leurs redoutables kikoup', ils s'enfoncèrent dans les rangs bretonniens et commencèrent la sanglante moisson.

Cependant, les peaux vertes avaient sous-estimés la volonté de ces faibles hommes, car bien que largement dépassés en nombre et en force de frappe, les hommes d'armes se battaient avec vaillance, et tous les citoyens de la ville prenaient les armes et s'envoyaient volontairement aux casse-pipe, pour combler la brèche dans le mur d’enceinte. Quand les peaux vertes finirent de dégager la brèche remplis de cadavres, un régiment qui rassemblaient tous les chevaliers restant c'étaient rassemblés en face de la brêche, prêt à charger. Mais les verts ne purent contenir leur soif de pillage et foncèrent dans la cité, avant de s'éparpiller dedans et de mettre les maisons à feu à sang. Les chevaliers chargèrent néanmoins vers la brèche pour tenter de repousser les peaux vertes encore dans celle ci pour les empêcher d'envahir la cité, en éspérant que les paysans pourraient résister aux pillards déjà rentrés dans la ville...

Les orques commençaient à affluer en masse à l’intérieur de la cité, mettant à mort tous ceux qu'ils rencontraient. Les hommes d'armes et les archers brettoniens combattaient avec un grand courage, mais pour chaque orque qu'ils abattaient, trois prenaient leur place. Leur nombre était incalculable et les défenseurs, bien que courageux, n'allaient pas tenir très longtemps. Voyant ses premières lignes débordées, le duc de Gisoreux leur ordonna de battre en retraite.

"Battez en retraite, réfugiez vous dans le bastion!"

Tous les hommes survivants coururent se réfugier dans le bastion au centre de la cité, seul endroit encore sécurisé de la cité. Beaucoup reçurent un coup de kikoup dans le dos et s'écroulèrent dans une mare de sang, les rares à y parvenir avaient gagné un court répit. Profitant de cette retraite, les orques s'emparèrent entièrement de la cité et commencèrent leur pillage. Grossklak leur ordonna de ne rien bruler qu'ils ne la contrôlerait pas totalement. Ils entourèrent en peu de temps complètement le bastion, et se massèrent devant la lourde porte qui en gardait l'entrée.

"Trouvez de quoi défoncer ça les boyz!"

Des orques trouvèrent rapidement un bélier et commencèrent à marteler la porte de toutes leurs forces. Elle n'allait pas tarder à céder.

A l’intérieur, les bretonniens étaient enfermés, ils ne pouvaient pas fuir et se retrouveraient à la merci des orques dès que la porte allait s'ouvrir. Le duc tenta de remotiver ses troupes qui étaient au bord du suicide. Il ordonna aux chevaliers survivants de se préparer à charger pour une dernière charge héroïque. Il prit la tête de la formation et dégaina son épée.

"En ce jour, la Dame teste notre valeur en tant que chevaliers protecteurs. Montrons lui que nous sommes dignes de notre titre et renvoyons cette horde là où est sa véritable place. Faisons leur mordre la poussière!"

Sitôt sa phrase terminée, la porte céda et les chevaliers chargèrent les orques qui commençaient à entrer. Ils parvinrent à les repousser du bastion mais leur charge fut stoppée nette par la marée verte qui les attendait à l’extérieur. Leur dernière heure semblait être venue...

Les chevaliers, malgré leur charge héroïque, avaient été stoppés par la masse de peaux vertes qui se pressaient dans la brèche. Les humains finirent alors encerclés aux milieu des orques et gobelins. Voyant leur dernière heure arrivés, le duc posa son épée contre sa poitrine et s'adressa à tous ses chevaliers.
"Preux Chevaliers. En cette heure sombre nous avons échoués à protéger notre cité. Nous allons donc mourir entre ces murs. Mais nous mourrons en brave, et allons maintenant honorer une dernière fois la Dame du Lac. Chevaliers du royaume, sortez vos épées, puissent vos lames tuer le plus de orques possible, et nous nous retrouverons au panthéon des héros de la Dame!!"

Suite à cette ultime discours, les chevaliers laissèrent tomber leurs lances de cavalerie et dégainèrent tous leurs épées pour leur dernier combat. Le combat fut des plus violents, et chaque chevaliers tombé au combat emportait cinq peaux vertes. Mais le surnombre des peaux vertes prévalu sur la vaillance des chevaliers. Une fois le compte des chevaliers réglé, Grossklak ordonna de mettre toute la ville à feu à sang, ce que les peaux vertes firent avec joie. La porte du bastion était déjà endommagé et ne tiendrait pas longtemps, il suffit donc à quelques trolls d'enfoncer la porte et réduire le dernier espoir des gisoriens à néant...

Lorsque j'arrivais en vu de Gisoreux avec mon armée il était clair que la ville était perdue. Nous ne pouvions plus rien faire pour venir en aide à ses habitants.

Je décidai que nous nous rendrions à Couronne, la capitale de cette contrée. Il ne fallait surtout pas que cette ville là tombe aux mains des peaux vertes ou la nation de bretonnie disparaitrait après une telle débâcle.

Je fis passer le message aux soldats qui se mirent en route. Avant de partir je vis que certains des orques nous avaient repéré... Tant pis nous les attendrons de pied ferme à Couronne.

Je priai les dieux pour que Dame Cunegonde ai réussi à recruter des combattants d'ici là car seul j'avais peu de chance de stopper la marée des peaux vertes.

Gisoreux était à présent entièrement sous contrôle orque. La cité imprenable qui avait résisté à tant de sièges était enfin tombé sous la puissance de la Waaaagh de Grossklak. Les derniers humains survivants ne seraient bientôt plut et les orques avaient déjà commencé à mettre la ville à sac. Des armes de chevaliers, des armures lourde, du vin, les orques pillaient tout ce qui les intéressait avant de mettre le feu. En peu de temps, l'épais nuage de fumée s'élevant de la cité fut visible de très loin, probablement même depuis Couronne. Le feu se propageant rapidement les orques commencèrent à évacuer la cité et se regroupèrent dans la plaine à l’extérieur. Attirés par le carnage, des tribus orques et gobelines venant des soeurs pâles et de la forêt de Chalons se joignirent à Grossklak. Ils remplacèrent largement les pertes subies lors du siège de la cité.

"Bon, on c'est bien marré là, on va continuer par là, il reste plein de hommes."

Le chef de la Waaagh indiquait la direction de Couronne, la capitale de Bretonnie. Toute l'armée se mit donc en marche vers le nord, en avance lente car la plupart des combattants étaient fatigués voire blessés. Grossklak avait des rêves de grandeur, il était prêt à raser toute la Bretonnie avant de passer à l'Empire puis au reste des terres civilisées. Rien ne pouvait arrêter une telle marée peau verte et les orques auraient bientôt prouvé leur supériorité sur les autres races.

Les défenses avaient décidément du mal à se mettre en place en Bretonnie, mais peut être les peureux chevaliers n'osaient pas se mettre en travers de la route des orques car ils savaient qu'ils n'y pourraient rien. Pourquoi sinon ne seraient ils pas intervenus pour sauver Gisoreux? Leur lâcheté les empêcherait elle également de sauver leur capitale Couronne, Grossklak l’espérait, et il avait probablement raison!