Karak Varn

Quelle déchéance... alors que son plan audacieux aurait dû lui permettre de se retrouver à la tête du clan Lame-Rouille ainsi qu'à la tête de plusieurs milliers de guerriers qui sous sa gouverne avisée lui auraient ramené chaque jour des tombereaux de pépites de malepierres, d'or et d'esclaves... voilà que lui, le génial Leuffen Crocfendu, se retrouvait à ramper dans des boyaux puants avec pour seul contingent une trentaine de guerriers qui ne demanderaient pas mieux que de lui trancher la gorge au premier signe de faiblesse. Bon il avait eu la présence d'esprit d'embarquer dans sa fuite deux ingénieurs du clan Skyre dont l'un s'y connaissait dans l'usage de la Ratling et l'autre du terrifiant lance-feu, ce qui lui laissait l'espoir qu'avec un petit coup de pouce du Rat Cornu il pourrait toujours remonter la pente.
N'ayant pas de quoi affronter un clan même mineur pour l'instant et sachant qu'aucun seigneur ne serait assez fou pour embaucher un chef de guerre qui venait de tuer son maître, il avait donc décidé de parer au plus pressé et d'essayer de renflouer ses caisses sans trop de risques. C'est pourquoi il avait emprunté les tunnels creusés il y a longtemps par son peuple en direction de Karak Varn.
Lors de ses escapades à la surface durant ses jeunes années, il avait souvent entendu les humains parler de cette forteresse naine dégorgeant de trésors plus incroyables les uns que les autres, des peaux-vertes qui y avaient élu domicile ainsi que de multiples expéditions humaines qui méprisaient les dangers de ces montagnes pour tenter d'obtenir leur part du gâteau.
Son but n'était pas de s'en prendre aux maîtres des lieux, car c'était suicidaire... non, il comptait tout simplement s'attaquer directement aux charognards à peau rose qui avaient établi leur camps de base près de l'entrée de l'ancien bastion.
Couinant et couverts de poussière, Leuffen et ses hommes sortirent à la lumière du jour en s'abritant les yeux de leurs pattes, presque étonnés de la fraîcheur de l'air alpin et de la clarté du soleil de cette fin d'après-midi. En contrebas les portes titanesques et incrustées de runes de la cité désertée (ou presque) balafraient la montagne.
Le chef de guerre se mit à grincer des crocs d'excitation.

L'éclaireur envoyé par Leuffen, revient et fit son rapport

"Chef, ils sont plus que ça"

Dit il en tendant dix doigts

"ça fait beaucoup, surtout qu'ils ont des mini jezzails, moi je suis pour pas y aller"

Rajouta t'il tremblotant, en passant la tête au dessus du promontoire sur lequel se tenait les skavens, Leuffen vit un petit convoi flanqué de 20 arquebusiers.

"vous voyez chef, c'est dangereux, mais si vous allez je vous suit"

L'odeur de peur qui suintait de sa fourrure était difficilement analysable, avait il peur de son chef ou bien des peau glabre et de leurs armes ? Toujours est il que si Leuffen voulait mettre la main sur les richesses que convoyaient ces hommes il fallait les attaquer.

Le chef de guerre en exil regarda son éclaireur sans rien dire pendant un instant... et lui expédia un solide coups de poing en travers du museau qui l'expédia rouler dans la poussière du plateau où ils se trouvaient. Où allait-on si les éclaireurs ne savaient plus faire leur boulot correctement et qu'ils s'amusaient à démolir le moral des troupes avant même le début du combat ?
Avec un rictus torve, Leuffen dégaina lentement son épée dentelée et incrustée d'éclats de malepierre puis la posa contre l'oreille gauche de son subordonné avant de lui cracher dessus d'un air impérieux.

- Je me fiche-contrefous de ce que tu penses, Queue-Molle ! C'est moi-moi qui décide ce qui est dangereux ici, et JE suis la chose-maître la plus dangereuse, oui-oui !
Nos armures ont été trempées dans du sang de choses-naines et de rat-ogres... penses-tu vraiment que de petites balles-projectiles puissent les traverser ? Crétin-idiot !

Retirant sa lame, Leuffen se contenta de décocher un solide coup de pied dans les côtes de son sbire et de l'envoyer bouler encore plus loin. Ce qu'il venait d'énoncer était évidemment un mensonge éhonté, et les ingénieurs Skyre devaient être les premiers à s'en douter, mais ces guerriers sans tripes avaient sans cesse besoin qu'on leur rappelle par quel bout tenir leur hallebarde et à qui ils devaient une obéissance aveugle.
Cela n'empêchait pas qu'il allait falloir un bon plan de bataille pour éviter que les fusilier ne réduisent en pulpe sa troupe... une embuscade s'imposait donc pour attaquer le chariot.
Il fit donc cravacher ses hommes sur la pente de la montagne pour leur faire devancer le pesant convoi, et fit bloquer le passage par un petit éboulement de rochers alors qu'il devait passer dans un goulot d'étranglement naturel. La retraite devait être bloquée par une dizaine de guerriers surgissant de derrière un pli de terrain, tandis que la mitrailleuse ratling protégée par cinq autre guerriers devait commencer à fulminer par la gauche... et que les quinze derniers guerriers menés par Leuffen (bien dissimulé au centre de la formation avec un guerrier servant d'écran entre le lance-feu et lui) devaient charger par le flanc droit.
Le mieux serait encore que le lance-feu n'entre pas en action à cause du risque d'explosion et de brûler le butin... mais il était toujours difficile d'empêcher un ingénieur de se saouler dans le feu de l'action et de foutre le plan en l'air. D'où l’intérêt de le tenir à l’œil en se tenant à côté de lui.

Cela, c'était le plan, simple et efficace. Restait à voir si il allait fonctionner.

Les arquebusiers se tenaient de part et d'autre du convoi, sept sur chaque côté, trois devant et trois derrière. Lorsque le convoi arriva dans le goulot d'étranglement que les skavens avaient bouché par des rochers, ils se mirent en garde, arquebuse prête à tirer, le regard balayant les alentours comme si ils se doutaient que cet éboulement n'était pas naturel. L'un des arquebusiers porta la main à un cor qui pendait à sa ceinture et sembla donner des ordres aux hommes qui l'accompagnaient car ils commençaient à organiser une défense en cercle autour des objets de valeur qu'ils étaient parvenus à arracher aux ruines. Dans les rangs des skavens la nervosité montait doucement mais sûrement. Certains étaient pressés de combattre tandis que d'autres n'avaient qu'une envie : fuir. Leuffen se dit alors que séparer ses troupes étaient peut être une mauvaise idée finalement car chaque groupe était plus petit que le groupe d'humain. Et si les ingénieurs Skyre parlaient aux guerriers les accompagnant ? Queue Molle, l'éclaireur se tenait tremblant à côté de son seigneur, puis il montra à ce dernier un des guerriers censé protéger la ratling, se soulager sur un arbre.

"Il va nous faire remarquer, l'imbécile"

Constatant le manque d'enthousiasme flagrant dont faisaient preuve ses hommes tandis que les humains s'arrêtaient au plein milieu du défilé, Leuffen se mit à grincer des crocs de rage mal contenue. Il pensait que l’exemple de sa juste colère aurait été suffisante pour que ces étrons poilus se le tiennent pour dit... mais non, évidemment que non ! Il savait qu'il aurait dû trancher l'oreille de cet incapable de Queue-Molle, tout comme il savait qu'en temps normal il n'aurait jamais dû séparer ses troupes par soucis d'efficacité.
Il n'y avait cependant plus matière à reculer, plus maintenant que leurs proies était à portée de griffes et qu'il n'avait plus de moyen de rappeler à l'ordre l'ingénieur de l'autre côté de la gorge.
Saisissant Queue-Molle par le col, il lui sourit férocement et lui murmura un adieu presque sincère.

- Qu'importe qu'il nous fasse remarquer-voir, puisque c'est toi l'important-héros.

Il dressa ensuite son pauvre subordonné en l'air par la seul force du poignet, le hissant hors de sa cachette tandis que lui demeurait dissimulé , tandis que sa voix rauque aboyait des encouragements rauques perceptibles dans toute la gorge et que son regard fou défiait la quinzaine de soldats qui se trouvaient à ses côtés de discuter ses ordres ou de faire mine de s'enfuir.

- Tuez ! Tuez les choses-hommes, par le Rat Cornu !
Double ration d'or et de choses-esclaves pour qui me ramène la tête du chef, oui-oui !

Qu'il était bon d'avoir un bouclier humain pour monter à l'assaut.

Les guerriers répandus autour de la gorge étroite, furent stimulés par l'appât de l'or et des richesses promises par leur chef. Les quatre derniers guerriers censés protéger la Ratling, sortirent de leur cachette pour charger les trois arquebusiers qui se tenaient devant, tandis que les servants de la ratling mettait péniblement leur machine en position pour tirer. Les guerriers situés derrière les humains, entendant et voyant leur compagnon charger, chargèrent à leur tour et Leuffen sentait les artilleurs du lance feu fébriles. Les humains s'attendaient certes à une embuscade, mais pas à faire face à autant de monde en même temps, ils eurent à peine le temps de faire pleuvoir le plomb sur le plus gros des troupes qu'ils étaient déjà submergés par le nombre. Le pauvre Queue Molle couina pendant que sa fourrure se faisait truffer de plomb, puis ce fut fini. Bientôt il ne resta que cinq hommes entourés d'une vingtaine de skaven. Celui qui semblait être le chef, s'était placé en avant et avait à lui seul fait reculer trois guerriers, puis il porta le cor à sa bouche avant de souffler dedans faisant retentir une cacophonie dans le petit vallon. Voyant les hommes périr sous les coups de leurs armes, les skavens redoublèrent de ferveur et bientôt il ne resta plus que le chef. Cependant personne n'osait trop l'approcher en effet la promesse d'une récompense supplémentaire pour sa tête attisait les convoitises mais forgeait aussi les rivalités.

La harangue de Leuffen (ainsi que l'héroïque sacrifice de Queue-Molle) avaient eu l'effet escompté, si bien que les skavens avaient déferlé sur les humains telle une marée couinante de poil et de cuir. Surpris, les arquebusiers étaient parvenus à cracher une unique volée de plombs avant de se faire submerger, et une dizaine de guerriers mordirent la poussière tandis que leurs collègues leurs marchaient dessus et éventraient leurs ennemis. Croc-fendu le sentit lui-même lorsque son bouclier humain attirait les premiers tirs comme une tranche de lard faisandée des légions d'asticot et tressautait dans sa poigne solide tandis qu'il s'extirpait de sa cachette pour mener la charge.
Une fois parvenus au corps à corps, les élus du Rat Cornu eurent la partie belle, et seule une faible poche de résistance s'organisa autour du chef ennemi dont la tête avait été mise à prix, sans qu'un seul d'entre eux puisse avoir l'opportunité de prendre la fuite. Leurs bras volèrent, leur sang s'envola dans les airs en nuées d'insectes écarlates et leurs tripes se répandirent en tas sur le sol. Tous ces hommes moururent de façon aussi héroïque que stupide pour donner l'occasion à leur responsable d'escorte de souffler dans sa maudite corne de brume et d'alerter toutes les patrouilles des environs.
Cela dit, vu la présence massive de peaux-vertes, trolls et skavens dans les environs par rapport aux faibles expéditions de pilleurs humains, y'avait-il vraiment une chance pour que des renforts surviennent ? En tous cas, tous les prédateurs et charognards de la région devaient savoir qu'une proie était en difficulté dans le coin.

Lorsque le commandant de la troupe ennemie, enfin esseulé au milieu d'un cercle de cuir, de lames et de hallebardes, Leuffen se demanda si il ne devait pas régler le problème d'un coups de lance-feu bien senti... mais comme le chose-homme se trouvait entre lui et le wagon, il faudrait prendre le risque de l'enflammer en même temps.
Il décida donc de dresser sa solide épée dont le fil était déjà rougis et de régler le problème lui-même.

- Vermine inutile... pas foutue-capable de tuer un chose-homme seul, non-non !
Faites place, vous avez laissé passer-abandonné votre chance !

Dégageant de son passage d'un solide coup d'épaule un guerrier qui se trouvait sur son chemin, le seigneur de guerre se jeta directement à la gorge de son ennemi... ou du moins le fit-il croire par une feinte, son épée se rabaissant aussitôt pour chercher le défaut de l'armure et lui cisailler le dessus du genou. S'ensuivit une volte, pour détourner la lame de son ennemi, et enfin une taillade basse vers le poignet du bras directeur. Le but était de le rendre impuissant, histoire qu'il ne puisse plus lutter et que l'on puisse l'embarquer par la suite sans coup férir. Le skaven prendrait ensuite un bon moment pour le briser à loisir et en faire son esclave personnel... du moins si il survivait à ses blessures.

- Allons, chose-homme, essaye de faire mieux que ça !

Le voyage a été long et difficiles mais enfin madek y est arriver, la légendaire citée naine: Karak Varn.

Cet endroit semblait tranquille, voir désert au premier abord, mais a l'intérieur de la montagne se déroulait des combats incessant, Madek et ses guerriers pouvaient le sentir jusque dans leurs os, mais ce n'était pas leurs problème, ils avaient une mission, et ils étaient déterminés à la remplir, l'intérieur de la montagne était noir, on ne voyait pas a deux mètres, fort heureusement il y avait des torches éteintes un peu partout, toutes de factures naine, et fort heureusement, elle étaient encore inflammable, ce qui permit d'avoir assez de lumière ainsi que de torche de rechange.

Les couloirs était assez grand pour le passage de chevaux et de cavaliers, mais en colonne de deux par deux seulement, madek savait que dans ce genre de situation, si il subissait une embuscade ils ne s'en sortiront pas indemne.

Mis à part le bruit des sabot des chevaux, les marmonnement des soldats et des pierres qui roulent ou d'une quelconque créature troglodytes, lla montagne était calme...beaucoup trop calme.

Les nombreux guerriers déambulant a dos de cheval dans une montagne dénottaient un peu les habitant habituel de la montagne, les sabots des cheveaux résonnait dans les couloir de pierres noires, bien que des champignons luminescent laissait parfois entrevoir quelques étranges créatures, celle-ci n'étaient pas assez dangereuse pour prétexter une halte, les torches étaient réguliérement remplacer, tous cherchaient quelquechose, un signe quelquonque permettant de pourchasser le serviteur de tzeentch, le dieu du changement.

Bientôt, ils arrivérent dans une gigantesque et vaste caverne, une merveille géologique, permettant de déployer de vastes armées, de nombreux squelettes gisaient de ci de là, des squellettes nains, skavens, mais aussi de gobelins, facilement identifiable à leurs lambeaux de tissus noir qui les envelopaient.

Des petit rats et autres créatures indescriptible couraient un peu partout, dérangés ou apeurés par la présence des intrus humains, par mesures de précautions, tous s'étaient mis en ligne larges afin de prévenir toutes attaques, mais le silence régnait, on est jamais trop prudents, surtout quand on est un serviteur des dieux noirs.

Les chevaux étaient nerveux, lorsque madekn en tête de son armée, vit un éclat bleuté, il se rapprocha de cet éclat au trot, et vit un grand cristal bleu, qui semblait être le début d'une piste, dans le pire des cas il se perdraient tous, mais il avait confiance, il fit signe a ses guerriers de le suivre, les chevaliers le suivirent sans discuter, mes les norse commençaint déja à douter de l'issu de la quéte.

Le démon de Tzeentch a laissé une piste que même un aveugle pourrait suivre, ce qui n'est pas leurs genre à moins qu'ils aient une idée précise en tête, comme si le démon voulait être trouvé, et maintenant qu'il y repense, madek ne savait pas quelle créature il allait rencontrer, même si il combattrait avec ferveur au nom de Khorne, il ne savait pas ce qu'il allait affronter, ce pouvait être une petite horreur tout comme ce pouvait être un puissant duc du changement.

La piste était très claire, divers cristaux lumineux de différentes formes, tailles et couleurs en perpétuel changement tapissait les tunnels et les cavernes, ils brillaient tellement qu'il n'eurent plus besoin d'utiliser de torches, les cavernes laissaient parfois apparaître des visages, humains ou non, signe que d'autres sont déjà venu et on connu un sort peu enviable.

Le chevaux devenait très nerveux, il devenait impossible a contrôler convenablement, et ce malgré la maîtrise de leurs cavaliers, les chiens se battaient entre eux, Madek ordonna alors une halte, et un recul des maraudeurs dans un endroit ou les animaux serait plus calme, seul les chevaux des chevaliers du chaos était calme comme la mort, tous comprenait cet ordre, madek ne souhaitait pas perdre de guerriers ni de bête de guerres, ou alors le moins possible, et surtout pas d'une mort idiote.

Ils continuérent ainsi, les dix chevaliers et le héros exalté s’enfoncèrent davantage dans la montagne, lorsqu'ils virent l'entrée d'un tunnel plus ornementé que les autres, des arabesque mouvante et de gigantesque cristaux bleutés.

Guyader et ses autres chevaliers s'arrétérent tandis que madek continua, ce qui ne manqua pas d'attirer son attention.

"-C'est ici que nos chemin se séparent, héros, nous e pouvons aller plus loin.
-Tu m'abandonne Guyader ?
-Non, j'ai déja subit une épreuve semblable, il y a longtemps, c'est quelque chose que tu doit subir seul, nous t'attendrons, fils de Khorne."

Sur ces mots, Madek mis pieds a terre et confia sa monture a ses chevaliers, la caverne était trop petite pour le passage d'une monture et de son cavalier.

L'étroit couloir dans lequel vous progressez débouche bientôt dans un gigantesque hall. Quelques colonnes taillées par les nains soutiennent le plafond qui se trouve a une bonne vingtaine de mètres du sol. Tout, du sol au plafond, est recouvert de cristaux aux couleurs changeante. Alors que vous progressez plus avant dans la pièce, vous sentez la magie du dieu du changement imprégner le lieu. Cette désagréable sensation est renforcée par l'impression que quelque chose ou quelqu'un vous regarde.

Alors que vous chercher votre adversaire des yeux, un petit grattement vous fait regarder le plafond. Vous discernez une forme accrochée au plafond qui vous tombe dessus. Bondissant en arrière, vous échappez de justesse à une mort violente. La créature vous fait à présent face. Ce patchwork indescriptible de divers animaux vous fixe avec ses dizaine d'yeux. Il vous faut le combattre et le tuer pour obtenir les faveurs de Khorne,

Spoiler:

Dans son long voyage, jamais Madek n'avait rencontrer pareil monstre, un mélange d'oiseau et d'insecte, Pour la première fois depuis longtemps, Madek avait peur, il tremblait et avait du mal a tenir ses armes, tandit que la créature avançait lentement à la manière parodique d'un chat, sa pince et sa mâchoire claquait de joie à l'idée de son prochain repas dont Madek allait être le plat principal, la créature bondit sur sa proie infotunée et la saisit de sa pince géante, assez fermement pour ne pas blesser sa proie sans pour autant qu'il soit capable de s'enfuir, elle saisit Madek par la taille, ses bras étaient libre tenant toujours le couperet et l'épée de façon nerveuse, les armes tremblait et finalement sous le coup de l'émotion, Madek s'évanouit...

Mais lorsqu'il fermât alors les yeux, Madek vit une chose plus terrifiante encore, plus terrifiante que l'abomination, plus horrible que la perspective de mourir, il était au pieds du trône de crâne ou siégeait Khorne, était-il vraiment devant le dieu du sang ? ou n'était-ce que le délire d'un guerrier effrayer a l'idée de mourir, mais ce qu'il vit le décida à revenir et a combattre pour ne pas endurer les tortures que Khorne réserve a ceux qui abandonne le combat avant qu'il ne commence, et Madek se réveilla devant une gueule béante garnie de crocs.

Une chance pour lui que ses bras étaient libres, il décrivit un grand arc de cercle tranchant de son épée, qui arracha quelques dents au monstre, mais c'était suffisant pour le faire reculer, le monstre resserra son emprise sur sa proie, madek comprit rapidement que si il ne faisait rien il mourrait broyer par la créature, et frappa de toutes ses forces sur la pince de son couperet, la carapace sauta et Madek planta son épée dans la chair mise à nue, la réaction du monstre ne se fit pas attendre, il hurla de douleur et lâcha Madek, la pince tomba d'elle-même détaché de son membre, et instantanément remplacé par des tentacules.

Madek s'était reculé, cette fois il faisait face au monstre, il ne laisserait pas la peur l'emporter, pas ici, pas maintenant.

[Mode MJ]
L'une des tentacules enserra le cou de Madek, tandis que les deux autres immobilisaient ses bras. Bientôt Madek suffoqua par manque d'oxygéne, sa vision se troubla et il n'eu plus la force de se débattre. Khorne pouvait s'avérer parfois un sacré farceur, car aujourd'hui son champion était tombé face à une créature du chaos.

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