L'invasion d'Athel Loren

Il fait encore nuit. La Forêt d’Athel Loren n’est pas encore réveillée. Les animaux de nuits vont bientôt aller dormir. Bref tout est calme. Mais Celebriän est là, il surveille, attentif à tous ce qui pourrais troubler se belle équilibre. Il vole de branche en branche, d’arbre en arbres sans rompre le silence d’obscurité qui règne dans les bois. Oreille tendu il est à l’écoute. Invisible, arc à la main, dague au fourreau toujours prêt à bondir sur sa cible et à terrassé son ennemi.

Le jeune forestier va, bientôt atteindre la lisière de la forêt cotée Bretonnie car d’après les rumeurs, plusieurs camps de brigands et de barbares se serraient rassemblés à proximité de la forêt. Celebriän est pensif, il ressasse les souvenir de l’incendie et à peur que si les brigands attaque, tout ca se reproduise, qu’un autre incendie ne se déclare et que des centaines de vie ne disparaissent. Lorsque qu’il arriva au camp des forestiers sa faisait déjà deux jour qu’il voyagé et il devait impérativement se reposer.

Après un somme de quelques heures, il alla se poster sur les derniers arbres de la forêt mais toujours de façon à rester invisible. Il ne vit pas de campements. Il décida alors de longer la lisière de la forêt pour voir si des camps ne se trouvaient pas plus loin. Il n’eu pas besoin de voyager très longtemps avant d’apercevoir les premières tantes. Dès qu’il les vue, il se rapprocha d’elle au maximum de façon à mieux pouvoir les observer.

Celebriän se posta le plus haut possible, s’assit sur une branche et se mis à observer. Grâce à ses yeux perçant d’elfe qui lui permettait de voir plus loin qu’un simple humain, il pouvait très facilement distinguer ce que faisaient les résident du campement. Ses craintes sur les intentions des brigands étaient fondées. En effet, ces derniers se hâtaient de démonter leur tantes, fermé leur bardage et de se préparaient à partir.

Celebriän compris qu’ils s’agissaient de nomades presque inoffensifs mais les traces d’un feu de joie à l’emplacement de leur campement l’inquiétait. Malgré le faite qu’il avait l’aire d’un groupe de voyageur sans intention hostile seulement gardait par quelques soldats, il n’empêche qu’ils restaient des dangers pour la forêt et tout simplement des intrus.

Les nomades se préparaient à partir. Comme ils y étaient habitués, ils furent très vite prêts à prendre la route et les chariots étaient vite chargés. Vue toutes leurs charges et l’endroit ou ils étaient le forestier en déduit que leur seul moyen de traversé la forêt se trouvait à quelques km au nord vers le Bosquet de frêne. Et en donné qu’il avait entièrement confiance en ses prédiction, et il se rendit au bosquet de frêne.

Arrivé au Bosquet il prépara un piège dont seuls les elfes sylvain ont le secret qui devait détourner les nomades de leur route et les envoyer tout droit à la Clairière du Malheur. Le piège fut vite terminé mais le trajet lui avait pris plus de tant que prévu et il entendait déjà les voyageur arrivé.

Il se posta dans les arbres et observa. Il y avait 7 soldats armés 10 hommes en âge de se battre 19 femmes et jeunes filles et 2 petits garçons. Le plans fonctionna à merveille et les nomade se retrouvèrent à tourner en rond dans la Clairière du malheur sans s’en rendre compte sous l’œil attentif de Celebriän.

Les nomades tournaient depuis quelques heures déjà. Comme dans toutes les forêts, et particulièrement celle d’Athel Loren, il est impossible de s’y repérer car pour ceux qui ne connaissent tout se ressemble. Ils commençaient à fatiguer et, étant donner que le soleil commençait fortement à décliner les voyageurs décidèrent de monter leur campement. Celebriän s’avait qu’il allait bientôt devoir passer à l’action son plan était simple :

D’abords il devait observer les mouvements des gardes pour pouvoir les tuer 1 par un 1 sans alerté les autres. Une fois cette menace supprimé tout deviendrait beaucoup plus facile. Ensuite il devait libérer les chevaux discrètement et sans faire de bruit empêcher tout individu de s’enfuir. Et pour terminer, il lui suffirait d’offrir le reste des pauvres voyageurs aux esprits de la forêt. Mais malgré les précautions que le forestier avait prit, tout n’allait pas se passer comme il l’avait si soigneusement préparé

Après 2 heures observation, Celebriän était enfin prêt à passer à l’attaque. Il prit une flèche, banda son arc, ajusta son tire, et décocha une flèche. Son tire fit mouche et le garde s’écroula sans un bruit sur le tapis d’herbe. Il sauta de quelques arbres et fit la même opération sur le deuxième et le troisième. Mais lorsque que le 4éme garde s’écroula, il entraina avec lui un râtelier d’armes qui fit énormément de bruit. Ce bruit sonna le signal d’alerte et les 3 garde restant accoururent pour voir ceux qui c’était passé. Celebriän arma 3 flèche en même temps sortit de sa cachette et tuer les 3 gardes d’un seul coup. Puis, il se mit à crier comme les loups à la pleine lune et l’instant d’après, plusieurs meutes de loups firent leur apparition et chargèrent sur les restes du campement.

Mais trois jeune homme était sortit de leur tente, avait pris leur chevaux et tenté de s’échapper. 2 loups sautèrent sur eux en faisant tomber 2 des jeunes hommes mais il y en avait toujours 1 qui fuyaient. Celebriän sauta sur un cheval du haut de son arbre et se lança à la poursuite du jeune cavalier. Celui-ci faisait preuve d’un remarquable talent à esquiver les branches mais dans la nuit, c’est l’elfe qui avait l’avantage.

Celebriän rattrapa vite le jeune fuyard et le désarçonna d’une jolie pirouette. Il le plaqua au sol sortit sa dague mais au moment de lui asséner le coup final il vit les yeux du garçon et recula d’un coup. Tout devenait clair, le faite que ce dernier avait pu prévenir l’attaque et s’enfuir aussi aisément. C’était parce que c’était aussi un elfe. Il rangea sa dague et força le jeune elfe à se lever, l’attacha au cheval et se mit à avancer. Il devait d’abord vérifier se qu’étaient devenue les voyageur et voir si il y avait des survivant. A son arrivait il vit les loups qui avaient encerclé sans les toucher de autre elfe. C’étaient ceux qui avaient fui avec celui que celebriän avait attrapé. Il les attacha eux aussi au cheval et se mis en marche vers le camp forestier.

Le trajet fut assez long mais durant tout ce temps, un grand silence, pesant, planait au dessus de ces 4 individus. A l’arrivé au camps, Celebriän laissa le soin des trois petit elfe à d’autre et reparti inspecter les frontière.