forêt de Kun Tsou

Shin Daï marchait depuis bientôt une semaine en direction de port le plus proche. Il pensait à son itinéraire une fois arrivé dans le vieux monde. Tout en réfléchissant, il admirait la beauté de la nature dans cette forêt profonde. En marchant sur le sentiers feuillu, il se laissait imprégner des bruits de la nature:

Le chant des différant oiseaux peuplant la forêt se mélangèrent pour crée une hymne merveilleuse. Des bourdonnement lui indiquèrent la présence de quelques insectes non loin de là. Des écureuils l'observèrent du haut de leurs branches. Un chat sauvage se déplaçait silencieusement sur le tapis de feuille, guettant une proie. Au loin, il entendis des chocs sourd, signe qu'un sanglier sauvages voulait faire tomber des gland pour se nourrir.

Tout ces bruits qui semblent anodins rappelle la beauté de la nature et pourquoi le chaos est combattu. Les sacrifices de centaines de soldats. La nature semble vouloir rendre la pareille en montrant son plus beau visage mais la majeur partie des voyageurs voient juste cela comme des bruits agaçant. Mais pas Shin Daï. Ces bruits le rendait heureux et sa paix intérieur s'en trouva renouvelée jusqu'au moment ou un silence se fit. Shin Daï fit semblant de ne rien remarquer mais, dans son esprit, il était sur le qui-vive.

Ce silence n'était pas normal. Quelqu'un ou quelque chose l'observai. Shin Daï ne voulait pas alerter son ou ses agresser et continua à marcher tranquillement. une branche craqua sur sa gauche. Shin Daï jeta un rapide cout d’œil et aperçus une ombre. Un bruit se fit entendre à se droite. Ils étaient plusieurs et ils l’encerclaient. Shin Daï s’arrêta. Il ne voulait plus jouer à cache cache.

Un homme sorti des sous bois et se planta à 5 mètre devant lui. Autour de Shin Daï, d'autres malandrins sortir des sous bois armé d'épée courtes et rouillées. Des brigand. Ou de simples paysan qui voulaient arrondir leurs fin de mois. Shin Daï en dénombra une dizaine. Celui en face dit.

-Ceci est un hold-up! Donne ton or et il ne t'arrivera rien!

Je n'ai pas d'or voulu répondre Shin Daï, mais, il ne pouvait pas laisser des crapules s'en tirer à si bon compte. Il répondit:

-Viens le chercher!!

Le chef des brigand lui fonça dessus tel qu'il l’espérait. Shin Daï laissa tomber son sac et se prépara au combats. Cet énergumène ne valais pas la peine de qu'il sorte son arme. Le brigand frappa d'un cou vertical et Shin Daï esquiva facilement l'attaque maladroite. Il lui bloqua le bras en lui serrant le coude et frappa. Le brigand, ayant le bras coincé, ne pus esquiver et sa tête parti en arrière, du sans s'échappant de son nez. Shin Daï fit contrepoids avec le bras de celui-là et l'envoya contre un brigand qui chargeait pour venir au secours de son chef. Ils atterrirent tout deux par terre et les autres brigand arrivèrent. Shin Daï sauta et donna un coups de pied à gauche et à droite, frappant les brigand qui voulaient le prendre en tenaille. Il frappa juste et les brigand s'écrasèrent aux sols dans un grand bruit. Shin Daï atterrit sur les mains et entoura les hanches du guerriers le plus proche pour le projeter contre un arbre. Le brigand ne se releva pas, certainement assommé. Shin Daï profita de l'élan pour se relever. Il fit fasse aux brigands restant en les défiants du regard. Impressionné, ceux ci ne bougèrent pas sauf leur chef, un entêté, qui s'était relever et lui fonçait dessus ivre de rage. Shin Daï esquiva encore le coup et, pour lui donner une leçon, agrippa le poignet de son adversaire et le cassa d'un mouvement complexe mais rapide. Lâchant son épée, le bandit hurla de douleur. le reste des brigands partirent en courant sans demander leurs reste.

Shin Daï sourit, reprit son paquetage, dépouilla les brigand pour leur reprendre l'or qu'ils auraient volé à une autre personne et continua sa route, laissant le chef se tordant de douleur et trois de ses hommes assommé par le singe. Shin Daï marcha encore pendant une heure avant de sortir de la forêt. Il se dirigea ensuite vers la mer et suivrait le rivage jusqu'à trouver une ville. Avec cet aventure, Shin Daï avait récupéré quelque piécettes et s'était dégourdis les jambes.

C'était une belle journée.