Nuln

Suite à leur victoire écrasante face à l'armée de mercenaires, la harde d'hommes-bêtes exprimait sa satisfaction en dévorant les morts et les blessés ennemis. Le carnage était tel que le dieu du Chaos Tzeentch en personne assistait au spectacle. Les bains de sang ne le passionnaient guerre, il n'était pas comme le dieu Khorne, mais le chef de ces rejetons du Chaos combattait au nom de Tzeentch et utilisait sa magie au combat. Il décida de le féliciter à sa manière et deux Gors commencèrent à être victimes de tremblements. Ces tremblements s'amplifièrent et leur corps commencèrent à changer. Ils poussèrent un hurlement de douleur et se virent transformés en enfants du Chaos! Cette apparition fut accueillie avec un grand enthousiasme et leurs hurlements de jubilation résonnèrent loin dans les terres et les forets alentours.

"Tzeentch est avec nous, remercions le en éliminant tous les humains en son nom."

Une fois rassasiés, ils se marchèrent droit sur Nuln. En cours de route, de nombreuses tribus rivales d'hommes-bêtes se joignaient à eux. Plus ils se rapprochaient, plus leur armée devenait gigantesque. Une harde bénie par le Chaos ne pouvait que mener sa race à la victoire totale, ils n'en doutaient pas une seconde et se préparaient avec la bave aux lèvres au massacre inégalé qui s'annonçait. Zagor se sentait comme le maitre du monde, jamais il n'avait vu pareil rassemblement et celui ci était sous ses ordres. Il s’attendait à un rude combat mais il était certain d'emporter le combat. Il se rendrait ensuite à Altdorf pour porter un coup fatal à l'Empire. La nuit commençait à tomber lorsque Nuln fit son apparition au loin. Le chamane ordonna à ses troupes de s’arrêter et de préparer le nécessaire pour mener un siège. Ils se mirent à l'ouvrage en abattant une grande quantité d'arbres.

*Demain sera un grand jour, ce sera celui de mon triomphe. Vivement demain...*

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Tout était enfin prêt pour le siège, il était temps. Alors que les premiers rayon du soleil pointaient le bout de leur nez, l'imposante horde d'invasion se mettait en marche vers la cité. Nuln est une ville fortifiée, construite par les plus grands ingénieurs nains et humains, encerclée par des murailles de six mètres de haut élevées sur les deux berges du fleuve. Les défenses étaient en place, des canons avaient été montés sur les remparts et allaient bientôt faire pleuvoir une grêle meurtrière sur l'armée en approche. Zagor avait choisi de concentrer toutes ses forces sur la porte Sud, tout simplement car elle était la plus proche, il n'avait pas de temps à perdre. La porte Sud est la moins utilisée par les voyageurs ordinaires, elle est essentiellement consacrée aux passages de marchandises. Cette entrée est défendue par deux tours de guet équipées de balistes, chacune abritant un escadron de soldats. Zagor avait avec lui un nombre incalculable de Gors et d'Ungors, un bon paquet de minotaures, une vingtaine de harpies, une dizaine de chars, deux enfants du Chaos et un massif géant du Chaos. Il ordonna aux harpies d'aller harceler les défenseurs bien à l'abri derrière leurs murailles pendant que les minotaures et le géant allaient enfoncer la porte. Tout le reste de l'armée resterait en arrière, bien cachés pour éviter les pertes inutiles.

"Sitôt que la porte cède, les chars passent devant et tout le monde fonce à leur suite."

*Espérons qu'ils parviennent à faire céder la porte avant de succomber sous les tirs...*

Les minotaures emportaient avec eux le bélier construit pendant la nuit, et ils en avaient un autre plus petit en remplacement au cas où. Le géant courait à l'avant en agitant sa massue. C'est alors que la batterie de canons entra en action. Nuln était réputé dans tous l'Empire pour la qualité de ses pièces d'artillerie et les hommes-bêtes allaient le découvrir à leurs dépans. Le géant fut le premier à tomber, il faut dire qu'il n'était pas difficile à viser. Il n'eut pas le temps de souffrir, sa tête étant remplacée par un boulet bien placé. Nombre de minotaures le suivirent dans la tombe. Bien qu'étant réputés pour leur grande résistance, ils ne pesaient pas lourd face à la puissance destructrice des défenses de Nuln. Ils continuaient malgré tout leur course folle vers la porte, étant heureusement pour eux bien couverts par les harpies qui occasionnaient une désorganisation pas possible. Bientôt, les canons se turent, l'ennemi étant trop proche pour eux. Ils furent remplacés par les balistes des tours de guet ainsi que par les soldats équipés d'arcs et d'arquebuses. Les dégâts occasionnés étaient bien moins importants, ce qui fut une chance pour les minotaures qui avaient perdu une grande partie de leurs effectifs initiaux. Ils atteignirent enfin la porte,et y furent reçus par des jets d’huile bouillante. Les survivants mirent le bélier en place et commencèrent à tenter d'enfoncer la porte de toutes leurs forces. Elle était très résistante mais devrait céder après un pilonnage soutenu. Deux minotaures tombèrent sous les tirs ennemis. Les harpies en firent tomber trois des remparts. Elles subirent une perte en retour. Plus qu'un coup et la porte cèderait. Encore trois minotaures furent mis à terre, deux harpies et quatre humains et, dans un bruit sourd la porte céda!

Zagor poussa un hurlement bestial pour donner l'ordre d'attaque. Les cors hommes-bêtes entrèrent en action, résonnant dans tout Nuln, et les chars se ruèrent vers l'entrée. Deux furent disloqués juste après leur départ par les canons qui s'étaient tenus prêts à faire feu. Le reste de l'armée les suivit en beuglant sous l’excitation du combat qui s'annonçait. Les minotaures avaient déjà pénétré l'enceinte de la cité et s'étaient dirigés sur les murailles pour y massacrer les soldats et les artilleurs. Les défenses tombaient à vue d’œil sous leur assaut meurtrier et bientôt, le reste de la harde les rejoignit. La porte sud était à eux et ils n'avaient plus qu'à sécuriser le quartier. Cette porte donnait sur le quartier de Faulestadt. Il s'agit d'un quartier récent qui fut construit lorsque la comtesse décréta que toutes les industries produisant des odeurs déplaisantes devaient aller s'installer de l'autre côté du fleuve. Cela prit à peu près deux ans, mais toutes les tanneries, les teintureries, les abattoirs et toutes les entreprises que la comtesse avait déclarées indésirables dans l'enceinte de sa cité furent contraintes de déménager pour se réimplanter là. Cette migration obligea une foule de gens mal équipés et mal financés à repartir à zéro. Les conditions de vie sont déplorables dans ce quartier. Un brouillard brunâtre flotte en permanence au-dessus de la Faulestadt et le vent qui souffle sur ce quartier charrie de sinistres odeurs de sang, de mort et la puanteur âcre des teintureries. Il n'y a pas beaucoup de pôles d'attractions dans ce secteur et le guet n'y fait jamais de patrouille. En conséquence, de nombreuses familles criminelles se sont installées là pour y faire tourner leurs affaires sans subir les interférences des représentants de la loi.
Il ne fut opposé qu'une très faible résistance aux hommes-bêtes dans ce quartier, la plupart des soldats s'étant certainement regroupés autour du palais pour y sécuriser les quartiers les plus riches. Zagor regroupa ses troupes dans l'allée centrale et les orienta vers le pont de Nuln, qui s'était relevé pour tenter de contenir l'invasion.

L'invasion suivait son cours. Les radeaux se construisaient rapidement et il y en aurait bientôt un nombre suffisant pour entamer la traversée du fleuve. Sur l'autre rive, les défenses de Nuln s'organisaient. Grâce au temps gagné après avoir relevé le pont, les impériaux en profitèrent pour envoyer plusieurs unités d'arquebusiers et d’arbalétriers. Ils seraient bientôt en position, il n'y avait donc pas une seconde à perdre et Zagor beuglait sur ses troupes pour les faire accélérer. La première ligne arriva bientôt sur l'autre rive, non sans avoir subi de lourdes pertes. Ils se ruèrent à l'assaut comme des déments mais eurent la surprise d'être reçus par une unité d'élite de joueurs d'épée qui s'était camouflée. Les ungors se firent tailler en pièces le temps que les tireurs impériaux finissent de se mettre en position; et se fut un massacre...

La plus grosse partie de la garnison de Nuln était donc restée en arrière pour protéger les quartiers riches de la ville. Ils ouvrirent le feu simultanément sur la deuxième vague d'assaillants et les envoyèrent tous par le fond en un éclair avant de poursuivre leurs tirs sur les hommes-bêtes restés de l'autre coté du fleuve. Tout autour de Zagor, ses troupes tombaient comme des mouches. Il fut lui même atteint par une flèche au niveau de la cuisse et fut forcé de faire sonner la retraite. Ce fut une vrai débandade, les survivants courant et dérapant sur les cadavres de leurs congénères pour tenter de sauver leur vie. Nombre d'entre eux périrent lors de leur fuite mais les impériaux ne les poursuivirent pas, continuant imperturbablement leur protection de la ville haute.

Ce qui restait de la harde s'enfonça dans les bois proches, en ruminant de haine. A n'en pas douter, leur vengeance sera terrible!

La nuit était enfin tombé. La tempête de neige aussi d'ailleurs. Les gardes surveillant la porte sud regardaient dans une purée de pois, et ne virent donc pas les ninjas qui se faufilèrent jusqu'à la muraille. D'un geste de la main de l'un d'eux, les ninjas se mirent à escalader les remparts avec une agilité et une efficacité incroyable. Arrivés en haut ils restèrent suspendus aux créneaux, et se divisèrent en trois groupes qui se dispersèrent dans les remparts: un groupe au coté ouest, un autre au coté est, et le dernier au centre à coté de la porte principale.

Le groupe au centre donna le signal lorsque le meneur accrocha et assassina un garde qui passait par là et prirent place alors sur les remparts. A ces ordre son groupe avança vers le levier de la porte, gardé par 5 hallebardiers discutant entre eux. Ils ne remarquèrent pas les ombres qui les encerclèrent, et tous finirent la gorge tranchés, sans pousser un seul cri. Peu après, les autres ninjas les rejoignirent et affirmèrent que les autres gardes avaient été réduis au silence. Cependant il fallait se dépêcher, car d'après les discussions de certains gardes, la relève ne devrait pas tarder à arriver. Les ninjas se mirent alors en place et commencèrent alors à faire tourner l'énorme levier qui actionna la porte lentement. La porte grinça au début, mais cela ne attira pas l'attention des rares gens, généralement soul, qui sortait dans le rues.
Dehors les ogres attendaient avec impatience que le signal soit donné. On leurs avaient toutefois bien dit de ne pas faire "trop" de bruit lorsqu'ils rentreraient dans la cité, pour ne pas attirer les garnisons du haut quartier avant que les nippons ne soit arrivés.

Sur la muraille, les ninjas poussaient de toute les forces, et parvinrent finalement à ouvrir en entier la porte. L'un d'eux alluma alors une torche et l'agita au dessus de la muraille. Les ogres aperçurent enfin le signal qu'ils attendaient avant de pouvoir se lancer à l'attaque. Donc, sur un ordre "silencieux" des deux tyrans, les colosses se lancèrent "le moins bruyamment" possible vers les portes de la cité...

Les deux lunes était enfin visible à leur zéniths, morslieb brillai d’une lueur inquiétante comme si elle savait que se soir un acte grave aller se perpétrai. J’avais l’estomac noué cette sensation était toujours présente avant une bataille. Mais cette fois cela était beaucoup plus fort. Surement par ce que j’allais non pas combattre un ennemies tous désigné comme fou, destructeur ou chaotique, non, j’allais combattre des hommes.

Certes j’avais par le passé fait ce genre d’acte, mais c’était toujours dans un but précis et dans une guerre bien précise. Ici la bataille ne serait la que pour sustenter les ogres et me permettrait de récupérer les richesses de la ville.

J’entendis au loin les bruits des ogres chargeant les premières unités ennemies.

*on avait pourtant bien dit de ne pas faire de bruit*

Mais bon le fait qu’ils est passé les porte de la citadelle sans ce faire repérai était déjà un exploit. Il aller donc falloir passer à l’attaque.

Yoshihiro « capitaine Ishiko appeler donc le shinigami »

Le capitaine s’exécuta sur le champ. L’homme murmura quelque chose à peine audible. Au début rien ne se produisit puis une déchirure temporel se créa juste à coter de Ishiko. Le shinigami en sortie.
Regardant tout autour de lui il demanda

« que veut tu petite hommes ? »

Ishiko « détruit la muraille qui nous fait face au dieu de la mort »

De cette muraille on pouvait entendre des voix inquiète, certainement des garde de faction qui avait vue la bref lueur qu’avait produit le portail.
Le shinigami regarda dans la direction de la muraille et partie dans un rire sonore.

« Que ton vœu et simple petite humain ».

L’être surnaturel se campa donc sur ces deux jambes et joint ces deux mains en un triangle parfait. D’une fois lourde et profonde une incantation se fît entendre, une incantation dans une langue connue seulement des dieux, une langue qui recelait de puissance. Une énergie pure commencer à ce formait à l’intérieur des deux mains formant une boule d’un blanc immaculé.

Le shinigami avait terminé de déblatérai et d’un seul mot il lança son puissant sort.

« KIKOHA »

Et un trait de lumière parti en direction des fortifications. La boule d’énergie n’avait pas varié de taille, mais l’énergie qui sans échapper était beaucoup plus imposante créant un entonnoir de 5 mètres de long et bien 10 mètres de haut. L’attaque pulvérisa le bous de muraille viser et les quelque maison en bordure.
Le shinigami entrepris alors de déplacer ces mains pour créer une faille encore plus grande.

L’énergie se dissipa peut à peut pour disparaitre complètement, mais l’attaque avait soufflé le mur adverse qui créa un point d’entré long de 20 mètre.
J’avais le souffle coupé par un déchainement de puissance aussi brute. Malheureusement le shinigami repartait déjà pour un autre lieu en un autre temps, certainement qu’il considérait ne plus rien nous devoir pour le moment.

je n’attendit pas une seconde de plus je crier mes ordres.

Yoshihiro « A l’attaque, les ashigaru en premières ligne le reste suit. »

La première attaque nippone sur l’empire était lancé.

Le comte de Nuln, voyant l'attaque en traitre d'une armée nippone accompagnée d'ogres, décida de sortir de la cité par un passage dérobé.

Il est en route pour prévenir l'empereur à Altdorf de la traitrise nipponne et si l'attaque ne cesse pas immédiatement cela pourrait bien déclencher une guerre sans précédent entre l'Empire et l'archipel Nippon.

L'attaque se dérouler sans encombre. Les troupes étaient passées à travers la brèche, bien sûr le peu de canon à porter de tir avait copieusement arrosé les assaillant de boulet en fer, mais cela n'était pas asses pour les repoussaient.

Cela faisait bien une bonne heure que le combat avait commencée. Je restais en retrait, car pour l'instant l'intervention de toutes mes forces n'était pas nécessaire. Je commandais donc la bataille à l'extérieur de la forteresse. L'envoie continue de messager me permettait d'avoir une vision claire et précise des force en présence et de l'avancer de mes troupes.

Celles si avaient d'ailleurs bien avancé dans la cité humaine, la première ligne de combat avait cédé. Elle n'avait pas eu le temps de se former correctement, l'attaque avait pris de cour les défenseurs qui se regroupaient pour contre attaquer les ogres. Dans les derniers rapports il était aussi mentionné que les ogres avançaient rapidement et que seul quelque poche de résistance subsister dans les cartiers populaires. Mais les nippons étaient dors est déjà en proie à une difficulté, car une ligne de défense basse avait était établie dans les hauts cartiers. C'est pour cela que j'allais donner l'ordre d'une attaque total des troupes de réserve.

Mais l'arriver impromptue du sergent ninja Yamamoto me coupa dans mon élan, cet homme avait souvent des informations de premier choix dû à son poste et le plus souvent elles n'étaient pas de bons augures.

Yamamoto « Hatamoto j'ai de graves nouvelles. Une fois la prisent des portes faire j'ai décidé de diriger mes équipes vers un nouvel objectif. Je voulais assassiner leur compte électeur dans l'espoir de désorganiser leur défense »

Yoshihiro « C'est une bonne initiative en soit. Parle, à tu réussi ton coup ? »

Yamamoto « non messire. Nous avons réussi à approcher de l'homme en question, mais au moment de l'attaque sa garde rapprocher et lui-même ce sont révéler êtres des feints bretteurs j'ai perdu cinq de mes hommes au cours de l'opération, il a réussi à fuir par des passages secrets de la ville »

Yoshihiro « damnation il pourrait prévenir des renforts très rapidement, c'est tu ou il à pût aller ? »

Yamamoto « pendant que nous étions en train de nous mètre en place j'ai pût entendre des bribes de parole. Il disait qu'il devait à tout prix prévenir l'empereur de la gravité de la situation. Et il pense sincèrement que l'attaque et portée au nom des îles nippons ».

Yoshihiro « Alors la situation et plus grave que je ne le pensais, mais bien jouer sergent vos informations me permettes de savoir où ils vont, la capital impérial. Je veux 15 samouraïs montés et autant d'archer à cheval. Il c'est enfui depuis combien de temps sergent ? »

Yamamoto « Nous avons attaquaient il y a de sa une bonne demi heure Hatamoto »

*parfait nous avons le temps de les rattrapais. Nous somme léger et avons des chevaux frais nous devrions les rattrapaient rapidement*

Yoshihiro « Parfait, que le reste de l'armée passe à l'action. Le capitaine samouraï Danjo prendra ma place en temps que générale le temps que nous ne somme pas revenue. EXÉCUTION »

Yamamoto « oui seigneur, vos ordres seront transmis »

Yoshihiro « en avant cavalier nous parton à la traque »

Et dans un bruit sourd on entendit les sabots racler la terre fraiche. 31 nippons ce lançaient en chasse pour neutraliser le compte électeur de Nuln.
J'espérais pouvoir arriver à temps.

Un flash aveuglant, puis une déflagration à vous faire péter les tympans, et un pan entier de la colossale muraille que se dressait jadis fièrement devant eux venait de s'écrouler sous l'attaque de l'être de lumière invoquer par le Nippon.

Les ogres chargèrent à travers aussitôt, et la nuit noire fût la seule témoin d'un véritable massacre.

Krexor n'avait pas donner de consignes particulière à ses troupes. Trouver. Massacrer et piller étaient les seules directives donner à ses ogres.
Celles-ci étaient d'ailleurs respecter à la lettre.

Les défenseurs n'avaient aucune chance. Entourer de sa "garde prétorienne" composé des meilleurs mangeurs d'hommes de son armée, Krexor faisait une véritable boucherie.

Les ogres progressaient rapidement, n'étant nullement ralenti par la piètre défense des gardes de la cité, et dépassèrent bientôt les bas quartiers.

Un peu plus loin Galrok faisait des ravages, et Krexor hurla un cour champ de guerre e sa direction alors que son énorme masse d'arme pulvérisait un autre garde.

Celui-ci était impressionnant, ceint dans son armure de plate des pieds à la tète, un avatar de la mort que rien ne pouvait arrêter.

Avisant un regroupement d'un trentaine de gardes à une centaine de mètre de sa position, il ordonna à ses mangeurs d'hommes de continuer à monter vers les quartier plus riche de la ville, puis, d'un pas lourd, chargea la petite masse de défenseurs.

Oui, c'état une bonne nuit pour La Gueule, alors que son arme venait de pulvériser le premier rang des gardes, qui, fou qu'il étaient, pensaient le stopper...

D'un geste du bras, Galork arracha la jambe d'un joueur d'épée, histoire de casser la faim. Il se retourna pour écraser sous sa bedaine un épéiste tentant de lui planter une épée dans le dos. Le tyran massacra des régiments entiers d'impériaux, et réduisit les bas quartiers en miette avec l'aide de ces congénères.

L'intervention du Shinigami avait réduit à néant les défenses des hauts quartiers, qui était désormais à la merci des monstres de l'est. Aux milieu des bas-quartiers en flamme, Galrok et sa tribu rejoignit celle de Krexor qui s’appétaient à franchir le pont qui reliait les deux quartiers. Les deux tyrans se regardèrent, et poussèrent un hurlement tandis que les ogres chargèrent les portes de l'autre partie de la cité.

Le mégastodonte chargea à l'avant de l'armée et pulvérisa les portes bardées de fer de ses défenses aussi facilement qu'une clôture pour vache. Le monstre poussa un puissant hurlement qui amena des vents remplis de neige encore plus terrible que les précédents. Les ogres s'enfoncèrent dans les lignes impériales tentant de leurs barrer la route, faisant gicler le sang humain dans tous les sens. Les ogres croisèrent également les troupes nippones, qui affrontaient les gardes survivants, et pillaient les bâtiments en flamme.

La mise à sac de Nuln dura la nuit entière, et au petit matin, il ne restait plus que des bâtiments en ruine, des murailles écroulés, et un grand festin sur la place du marché des hauts quartiers. Alors que le soleil commençait à paraître au loin, Galrok se leva, une cuisse de cheval à la main et prononça:
"Aujourd'hui, on a bien démoli les humains d'l'Empire. Ils vont être tellement pas content qu'ils enverront surement un tas d'armées à nos trousse. Mais c'est pas grave, car eux aussi on va les manger, et on brûleras tous l'Empire si on veut!!!!!"

Les ogres poussèrent des rugissement de plaisir, puis des ventre durs de la tribu de Galrok commencèrent à chanter un de leurs célèbres chants de guerre tout en mangeant les membres d'humain qu'ils avaient dans les mains. Tandis que les ogres s'adonnaient une nouvelle fois à leur jeu barbare sous les regards des nippons dégoûtes, le tyran des tripes-montagnes monta sur une muraille encore debout et depuis les créneaux, contempla le lever de soleil commençant à éclairer les forêts du Vieux Monde. Tout en regardant cette nouvelle journée qui arrivait, Galrok se dit qu'il avait de la chance, car à présent sa tribu était redevenue puissante, et était alliée à une autre tribu partageant les même projets de conquête. Regardant le ciel dont les vents dissipaient la fumée des incendies de la nuit dernière, Galrok leva sa masse vers le ciel et remercia la Gueule d'être avec lui.

C'est alors qu'un contingent de renforts impériaux envoyés depuis Altdorf par l'empereur lui même sortit de sa cachette et ouvrit le feu sur les assiégeants. Les impériaux, profitant que les ogres et les nippons soient trop occupés par leur attaque, c'étaient positionnés tout autour d'eux et les entouraient à présent totalement. C'est plus de cinq cent arquebusiers qui firent feu en simultané, causant des ravages sans précédents dans les rangs ennemis. Du haut de la colline dominant la cité, de nombreux canons les imitèrent et leurs boulets précis firent voler en éclats une masse giclante de membres explosés. Les arquebusiers purent, grâce à ce tir de couverture, pénétrer dans la cité et y abattre sans exception tous les assaillants. Le shinigami, assistant à cette débâcle, préféra se retirer. Seuls les tyrans ogres survécurent, en se faisant passer pour morts. Il étaient à présent dans l'obligation de retourner très discrètement dans les royaumes ogres afin de se reconstituer une armée. Le général Nippon quand à lui, semblait avoir quitté les lieux avant la contre attaque impériale.

L'empire avait repris la cité et la garnison venue d'Altdorf resta sur place, juste au cas où.

Une heure à chercher le compte électeur en plaine forêt suffit pour me dissuader de continuer mon expédition. J’avais une ville fortifié à prendre avant tous. Un peu plus tard dans la nuit je rentrer donc dans la ville qui était en proie aux flammes. Mes cavaliers restaient donc avec moi comme escorte et les archers allaient déjà rejoindre leurs unités respectives.

J’avançais donc peut à peut entre les manoirs et villa du haut cartier jusqu'à arriver à la ligne de front. C’est à se moment que ma cavalerie et moi-même décidâmes de charger pour venir en aide à mes troupe d’ashigaru. Au moment de l’impact je tranchai donc la gorge d’un premier ennemie. Mon arme avait déjà pris une centaine de fois la vie d’humains, mais a ce moment un vide ce fît en moi, je venais de tuer un homme qui ne voulait que défendre sa vie et sa ville.

C’est alors qu’un part de mon esprit bascula dans un moment de folie et s’ensuivi un massacre dont seul les seigneur chaotiques pouvaient se vantaient. Les défenseurs se bâtais avec la force du désespoir et de nombreux nippons jonché le sol à peut prés la moitié de l’armé avait déjà était éradiquer pendant le combat. C’est alors que le shinigami fît de nouveau parler de lui dans une attaque dévastatrice ce qui laissa le temps nécessaire au nippon pour se réorganiser. Au même moment les ogres arriver des bas cartiers.

Les impériaux pris entre le marteau et l’enclume ne purent que ce résigner a une mort héroïque au combat. L’aube se lever alors que je retirer mon katana du derniers ennemies encore en vie, je me tenais sur un amoncèlement de cadavre et c’est alors que je me rendis compte de l’ampleur du massacre.

Des corps éparpillé dans tous les sens appartenant au deux camp. Les ogres en train de manger les blesser ou les mort et mes unités qui commencer déjà à rassembler les civiles encore vivant au vue dans faire des esclaves.

*Qu’elle folie est la? Mais qu’es que j’ai fait ? Ce n’est que pure folie, non par tous les dieux je me suis éloigner de la loi du bushido *

Je commençais à me morfondre quand mais capitaines vinrent me féliciter non sans une mines de dégouts total. C’est alors que je pris se qui me semble maintenant la meilleur décision.

Yoshihiro « Nous n’avons fait qu’attiser les flammes de la guerre par cette acte de barbarie, en pansant servir mon clan je n’est fait que m’éloigner de la voie du samourai, je m’excuse de vous avoir entrainé dans cette folie. »

Au même moment je me mis à genou et plia l’échine pour m’excuser au prêt de mes capitaines. Ce si nan revenez toujours pas de ce que je venais de faire. C’est les capitaine Danzo qui me releva en disant.

Danzo « Messire relever vous je vous en supplie, ce n’est pas fini la voie de la rédemption et toujours possible. Pour cela il vous faut partir en pèlerinage, il vous faut tuer les ennemies de l’humanité dans tout le vieux monde. Mais vous devrait renoncer à la voie du bushido car vous n’êtes plus digne de représenter l’honneur nippon. Mais maitre sachez que mes samouraïs et moi-même vous suivrons partout ou vous irai, nous renieront notre serment a notre tour ».

Et pour accompagner ces parole le capitaine samourai ce mis à son tour à genou devant moi dans une posture d’imploration.
Je fus émus par ces paroles et c’est d’un hochement de tête que j’acceptai l’offre qui mettais faite.

Yamamoto « maitre si vous devenez un paria je serais des votre et si la voie du bushido vous est refuser vous pouvait compter sur moi pour vous apprendre les technique déloyale du ninjutsu. Il vous faudra être discret et rapide et pour cela l’apprentissage ninja na pas d’équivalent. »

A son tour le sergent ninja mis genoux en terre devant moi et à mon tour j'accepter son aide.
Yoshihiro « Très bien messieurs nous parton sur le champ, que chaque personne prennent un cheval nous devon être rapide. Capitaine Ishiko je vous confie le reste des hommes débrouillé vous pour que tous le monde rentre chez lui. Et que mon père sache que je regrette amèrement ce qui vient de ce passé. La prochaine fois qu’il me vèra je serais certainement mort »

Sur ces mots nous partîmes donc vers l’est car il nous fallait tous d’abord trouver un bateau qui nous permettra des déplacements rapide et de aussi de nous entrainais librement sur les atolls autour de l’ile appeler Albion. A partir de la nous pourrions faire des frappe éclaire dans tous l’empire pour venir a bous des pourritures du chaos.

Une heure plus tard nous fument a plus de 10 kilomètres de Nuln, je fît retourner ma monture pour voir une dernière fois la cité qui fumer encore des nombreux incendies. Mon cœur se serra et je reparti au devant de ma petite troupe. J’étais dors et déjà un traitre à ma cause, un paria, un renégat.

La tribu des Tripes-Montagnes marchait depuis plusieurs jours déjà au milieu des forêts et des plaines de l'Empire, vers le sud. Le voyage avait été pour la majorité des ogres ennuyant, étant donné que pratiquement aucune troupe impériale n'était venu les intercepter. Les derniers jours avaient cependant été divertissants suite à plusieurs attaques d'hommes-bêtes et de gobelins couverts de plume et de piqûres d'araignées. Malgré ça, les colosses n'étaient pas rassasiés et voulaient plus.
Aujourd'hui, par une journée quelque peu ennuagé, la troupe arriva non loin de Nuln. Le tyran sourit à la vue de cette forteresse qu'il avait déjà pillé et mit à sac avant d'être délogé et chassé par les troupes impériales. Il se souvenait aussi de guerriers asiatiques, ainsi qu'une autre tribu d'ogres l'ayant aidé à prendre d'assaut la cité. Cependant, il allait éviter cette fois de passer par là, car la rancune devait être encore présente dans le coeur des habitants, et ne voulait pas avoir tout la région à ses trousses. De plus, les reconstructions datant du pillage n'étaient pas totalement finis. Il décida donc que lui et sa horde contournerait de quelques lieux la cité.

Mais alors que lui et sa troupe traversait une clairière plongée au milieu des bois sombres, un son de trompette claironna non loin de leur position, suivis par des roulements de tambour, et les pas coordonnés et bruyants de soldats en arme. D'un grognement, Galrok ordonna à ses guerriers de se mettre en position de combat, tout en continuant d'avancer de manière étrangement silencieuse et rapide. Soudain, sortant de taillis de la forêt, un homme bien équipé et décoré monté sur un fier destrier apparut en brandissant une épée finement ouvragée, suivis par une troupe de soldats réguliers de l'Empire. A leur suite vint ensuite un prêtre-guerrier menant une bande de flagellants complètement timbrés, ainsi qu’un groupe de cavaliers armés de pistolets. Enfin, un contingent de chevaliers en armure lourde alla se placer aux coté du cavalier étant visiblement le maître de cet ost. L'homme s’arrêta et s'adressa à ses soldats:
"Soldats de l'Empire! Voici ces barbares qui ont envoyés ce message à notre chère cité de Nuln! Nous allons apporter leur tête à l'Empereur et moi le capitaine Von Krisgurd, je serais couvert d'or et de gloire! En avant!!!"

A ce moment là, les impériaux chargèrent les ogres, visiblement déconcertés par la tournure des événements. Mais ils se mirent vite à sourire d'un air carnassier et à frotter leurs massue contre leurs bedaines, car ils étaient impatients de livrer un combat distrayant. Le tyran leva sa lourde masse d'armes et beugla bien fort, imité par le mégastodonte, dont le hurlement provoqua une tempête de neige surnaturelle. Glarok se tourna alors vers sa tribu:
"Bon les gars... commença t-il, On va enfin avoir un peu de distractions. On laisse personne, sa nous fera un beau banquet. Et aussi, laissés moi le rigolo sur son canasson là, je compte bien utilisé son arme comme cure-dents."

Sur ces paroles, les ogres s'élancèrent en criant et en beuglant, vers le combat qui les attendait...

Les deux armées se rencontrèrent dans un bruit assourdissant, faisant fuir les oiseaux perchés sur les hauteurs des arbres. L'organisation et la ténacité des troupes impériales dut faire face à la charge titanesque des ogres affamés. Mais le tyran était malin et avait tout prévu. Ces guerriers repoussèrent peu à peu les hommes, malgré le surnombre de ces derniers, hors de la clairière. La tempête de neige aidait bien évidemment leur tache. Le capitaine, voyant ses troupes se faire laminer par les groupes remarquablement coordonnés de ventres-durs et de buffles, ordonna à ses cavaliers de contourner le flanc ogre en passant par les bois. Voyant le groupe de chevalier partir dans les bois, Galrok esquissa un sourire malicieux tandis qu'il arrachait le bras d'un hallebardier intrépide. Le capitaine avait mordu à l'hameçon.
Alors que les chevaliers contournait la bataille, des formes sinueuses se déplacèrent à travers les arbres, suivis par une aura de froid surnaturelle. Les cavaliers en armure comprirent ce qui leur arrivait, mais trop tard, ils étaient trop loin du gros de l'armée pour avoir de l'aide. Ils sortirent leurs lames, prêts à défendre chèrement leurs vies. A ce moment, une grosse main velue agrippa le musicien de la troupe et l'emmena dans le blizzard. S'ensuivit des bruits de mastications et des borborygmes ineptes, tandis que les chevaliers regardait terrifiés la direction dans laquel leur camarade avait disparu. Les yétis finirent par sortirent de leur cachette, et se jetèrent sur les pauvres chevaliers qui tentèrent tant bien que mal. Mais rapidement, les survivants de cette sanglante orgie prirent leurs jambes à leurs cous et déguerpir, suivis par les monstres glacés non rassasiés.
Au centre de la bataille, les flagellants c'étaient jeté sur l'ennemi avec une fureur non contenue, menés par le prêtre-guerrier de Sigmar. Ils réussirent à tenir en respect les gnoblards et un groupe d'ogres, avant le tyran ne beugle un ordre. A ce moment là, les rangs ventripotents s'ouvrirent pour laisser passer un char brinquebalent, chargé de gnoblards et de lames rouillées. Avant même que les fanatiques de Sigmar ne puissent faire quoi que ce soit, le lance-férailles chargea à vue, écrasant les pauvres religieux. Le prêtre de Sigmar parvint néammoins à s'accrocher à l'attelage, et fut alors traîné sur la quasi totalité du champ de bataille. Le sigmarite parvint à éjecter toutefois deux gnoblards voulant le faire lâcher prises hors du char d'un revers de son marteau de guerre. Soudain, un autre gnoblard, plus rusé, commença à le harceler avec une lance, restant ainsi à porté de son arme. L'homme hurla de frustration:
"Va tu cesser, misérable gobelin gris ?!
-Caus' toujour'..." lui répondit le gobelinoïde.

Il planta alors sa lance dans la main de son interlocuteur, qui lâcha prise dans un cri de stupeur et de douleur. Le prêtre guerrier se releva à grand peine tandis que son sang s'échappait en grande quantité de sa main meurtrie. Il vit alors ses troupes reculer de frayeur, puis fuir à l'avancée d'une ombre titanesque planant au dessus de lui. Le sigmarite se retourna pour contempler le redoutable mégastodonte mugirent un blizzard mortel. L'homme récita une prière à Sigmar, tandis que le monstre posait ses yeux déments sur l'homme lui faisant face. Le pachyderme leva la patte et l'abattit sur le prêtre. Ce dernier contre-attaqua avec son marteau flamboyant, visiblement animé par la fureur de Sigmar. Mais le blizzard l'emporta sur la fureur du guerrier, et la puissance de Sigmar disparut au même instant où le monstre écrasa dans un craquement ignoble le sigmarite...

La panique c'était à présent répandu dans les rangs impériaux. Suite à la mort du prêtre-guerrier, les suivants de ce dernier avaient pris peur et c'étaient éparpillés dans les bois. Entre temps, le reste des chevaliers revint à l'arrière des troupes impériales, avec à leur trousse les horribles yétis. Les monstres des montagnes se jetèrent sur les humains pris au dépourvu, faisant encore pencher la balance du coté des ogres. Dans un beuglement sourd, Galrok sonna la charge final contre les hommes de l'Empire, et tous ses guerriers, gnoblards et ogres, se jetèrent sur les malheureux hommes, qui ne tenait bon que grâce à la volonté de leur capitaine. Le tyran décida de régler vite fait le compte de cet énergumène qui criait un peu trop à son gout.

S'élançant à pleine vitesse, Galrok percuta violemment les rangs d'infanterie, suivis par ses ventre-durs, créant une horrible cacophonie d'armures écrasées et d'os broyés. Le tyran se frailla un passage à travers des lignes de lanciers et d'hallebardiers, avant d'arriver face au capitaine de l'Empire, toujours jugé sur son destrier. Ce dernier pointa son épée face à la figure bouffie de l'ogre, serrant les dents et plongeant son regard plein de colère dans ceux plein de cruauté du tyran.
"Prépare toi à mourir, créature grotesque ! prononça l'homme, Ta dernière heure est venue !
-Urk urk, fais moi rire humain." répondit Galrok.

D'un coup, l'ogre donna un violent coup de pied au cheval qui tomba au sol, entraînant avec le capitaine. Le destrier se releva en énissant bruyamment, puis quitta le champ de bataille au galop, laissant son maître combattre seul le colosse. L'homme se releva, jetant un regard haineux à l'ogre qui se léchait déjà les babines. L'impérial cracha, puis reprit en ramassant son épée:
"Tu vas voir monstre. Tu ne me dévoreras pas si facilement."

Et dans un ultime cri de guerre, il se jeta sur le géant, frappant sans relâche. Il était habile, et Galrok dut parer plusieurs fois de justesse avant de contre-attaquer. Il balança son arme d'avant en arrière, obligeant son adversaire à reculer. Bientot, celui-ci se retrouva dos à un arbre, et se baissa juste à temps pour éviter la masse qui passa à quelques centimètres de sa tête, et déracina l'arbre derrière lui. Il profita de ce moment pour planter sa lame dans le bide de l'ogre. Mais ce dernier rigola aux éclats, puis asséna un puissant coup de coude dans les cotes du capitaine, qui s’éleva légèrement du sol sur plusieurs mètres avant de retomber lourdement sur le sol couvert de cadavres. Puisant dans ces dernières forces, il réussi à se relever malgré ses cotes probablement cassées, et refit face à son adversaire. Le tyran s'approcha, l'épée toujours enfoncé dans son abdomen, puis arrivé à quelques mètres de son ennemi, la retirant et lui tendit. L'homme, hésitant, ne la pris pas, et attrapa une lance juste à coté de lui. Soudain, l'ogre prit l'épée à l'envers (par la lame) et l'envoya sur l'impérial. Cette dernière s'enfonça dans l'abdomen du capitaine, qui tomba à genoux tandis que du sang coulait de sa bouche. Alors qu'il suffoquait, Galrok effectua des moulinets de sa massue, et décapita d'un coup bien ajusté l'homme à genoux, dont la tête disparu derrière la cime des arbres.
Voyant leur capitaine mordre la poussière, les derniers impériaux abandonnèrent le combat et fuirent vers la cité de Nuln au plus vite. Bientôt, la forêt s'emplit des cris de victoire des ogres, ainsi que écrasement d'armure, car les ogres prenaient toujours le temps de bien décortiquer les soldats en armure. Un grand feu de joie fut donc allumé à la nuit tombé, et les ogres savourèrent leur victoire en se repaissant des cadavres de l'ennemi.
Se curant les dents avec une épée de chevaliers, Galrok regarda l'horizon, en partit caché par les arbres de la forêt. Une fois qu'il aurait quitter les terres inhospitalières de l'Empire, il se dirigerait vers le sud, pour offrir ses services à des gens surement plus offrants. Dans tous les cas, il y aurait certainement des batailles à livrer et des banquets sur lesquels festoyer. Et cela suffisait amplement aux ogres, ce qui les hissaient finalement peut être au dessus des autres peuples, car contrairement à eux, ils ne cherchaient pas vraiment à contrôler quelconque territoire pour le pouvoir et éradiquer ses ennemis, mais plutôt pour être bien nourris et avoir de bonne distraction. Après tout, personne n'as dit le contraire quand on a dit que les ogres était simples...