Nom : Valériane
Peuple : Guerrier du chaos
Perso : Sorcière du Chaos
Poids : 50 kilos .
Taille : 1 M 60 .
Age : 26 ans .
Arme principale : Magie impie
Base d'opération : Cité en ruine de Kranark (Frontière des Désolations du chaos et de Norska)
Histoire:
Depuis peu, les ruines de Kranark bouillonnent d'activités. Le jour, des guerriers aux armures sombres sillonnent la région accompagnés de chiens mutants, et la nuit des feux illuminent le ciel au rythme des chants blasphématoires.
Cette cité était fortifié pendant son age d'or. Elle et sa région était dirigé par Lorgen, un puissant seigneur du chaos. Sa renommée était telle, que des tribus barbares migraient sur son térritoire en vu d'un futur massacre, pour la gloire des dieux sombres.
Son destin allait être grandiose, et les générations futurs allaient encore comter ses exploits.
En tout cas, il en était persuadé.
C'est lors des préparatifs de son prochain raid, qu'une jeune femme pénétra dans la cité.
Elle portait une cape noir aux reflets bleutés. Sa capuche, rabattu sur sa tête, laissait s'échappé quelques mèches de cheveux roux.
Sa silhouette svelte se déplacait aisément dans la cité bondé par les préparatifs, mais étrangement, personne ne fit mines de l'arreter. Car il est évident qu'une femme de son gabarit, pouvait rapidement se retrouver prise à partie dans une ruelle sombre de la ville.
Peut-être n'était-elle pas visible pour le commun des mortels.
Elle entra par la porte gardée du chateau, mais, comme dans la cité, personne ne l'interpella. Elle se dirigea directement dans la salle des cartes, où se trouvait le seigneur Lorgen et ses conseillers.
La porte s'ouvrit d'elle même. Deux guerriers, à la stature imposanten et à l'armure impie, dégainairent leurs armes, et s'imterposèrent à la nouvelle venue.
Cette dernière rabattu sa capuche et acceuillit les hommes en armes avec un sourire.
Elle était peu imposante de son mètre soixante. Pourtant, tous, voyait quelque chose d'autre derrière cette frèle jeune femme. Sans doute ses yeux d'un bleu glaciale qui vous pénétraient l'âme quand vous les croisiez. Ou bien cette aura de sombre autorité qui émanait d'elle.
Que fait tu là femme ? Comment est tu entrée ? l'intérogea l'un des garde.
J'apporte un cadeau au seigneur Lorgen, répondit elle, toujours en souriant.
Le second garde, arma et frappa l'insolante. Son sourire l'irritait et ce fut sa dernière pensée. Au moment de l'impact, une gerbe d'étincelle bleu apparu sur le fil de sa lame, à l'endroit ou elle aurait dû trancher de la chair. Puis il fut simplement et proprement désintégré, laissant derrière lui ses bottes métaliques fumantes.
Le garde encore en vie, Lorgen et ses trois conseillés furent soufflés sous le choc de l'explosion.
La femme entra dans la pièce et attenda que tous reprennent leurs esprits.
Il fallait toujours en arriver là, pensa-t-elle,
sinon on ne pouvait pas discuter avec eux.Lorgen repris ses esprit en premier. Tout en se relevant, il dégaina son arme démoniaque, pret à en découdre avec la sorcière.
CATIN ! COMMENT OSE TU T'ATTAQUER A MOI, DANS MON PROPRE DOMAINE ! cria Lorgen.
J'ai porté ce nom, répondit elle immédiatement.
Lorgen s'arreta net sous la réplique innatendu.
Catin. J'ai portée ce nom, continua-t-elle.
Perplexe, le seigneur du chaos arma son bras pret à fendre la jeune femme en deux. Il fut arrété dans son élan par son premier conseillé. Cingard, un puissant sorcier du chaos, qui venait tout juste de se relever.
Vous etes... La Catin ? demanda ce dernier en se tournant vers elle.
Elle le regarda et secoua la tête par l'affirmative.
Vous êtes la mère ? l'amante ? continua t il.
J'ai porter ces noms également , répondit elle, toujours en souriant.
Les yeux brillants de convoitise, il se tourna vers son seigneur.
Mon maitre, des histoires circulent à son sujet. D'après elles, quatres entités marcheraient sur le monde depuis que les dieux sont arrivés. Ils apparaissent au gré des envies de leurs Maitres. Celle que nous avons en face de nous portait aussi le nom de Conquête. Si elle est ici, cela ne veux dire qu'une chose, les dieux sont avec vous mon seigneur.Le maitre de guerre regarda plus attentivement l'entité. Il n'y décelait aucune trace de menace, mais ne rengaina pas pour autant son arme.
Parle ! Que me veux tu ?Comme je le disais tout a l'heure, je vient vous offrir un cadeauElle ouvrit sa cape, et sortit un coffret en bois d'une sacoche dissimulée.
Voici un présent de mes Maîtres, dit-elle en tendant le coffret au seigneur du chaos.
Je sent une très grande puissance émaner de ce coffret, seigneur. Il doit renfermer un objet d'une très grande puissance. Votre destin est en marche dit Cingard
Lorgen regarda le coffret avec convoitise. Il le prit des mains de la sorcière et l'ouvrit sans hésiter.
A quelques lieues de là, une brise coucha quelques herbes et fit s'envoler un papillon. Cette brise émanait d'une explosion qui détruisit la cité fortifiée de Kranark et ses occupants.
Bien que cet événement soit ancien, certaines personnes n'oublient pas. C'est le cas d'un puissant guerrier. Nuits après nuits, jours après jours, Guarth et ses combattants cherchaient ce pourquoi ils étaient venus.
Et c'est durant une nuit ou Morstlieb était pleine que les dieux leurs sourirent.
Sous les décombres d'une porte massive, recroquevillée dans une cape aux reflets bleu, le corps d'une jeune femme aux cheveux de feu était là. Son corps en parfait état, malgré le passage du temps.
Guarth l'avait retrouvée, sa maitresse, son amante, sa mère. Sa Valériane comme il se plaisait à l'appeler quand ils étaient de jeunes enfants.
La prenant dans ses bras, le corps ensevelis depuis des dizaines d'années se remit à respirer.
Réveillez-vous, maîtresse, dit-il de sa voix rocailleuse, mais avec tendresse.
Vos sombres seigneurs ont encore besoin de vos services.(HRP: Bonjour a vous. J'espère que ce petit back vous plaira. Et surtout que je n'aurais pas fait trop hors sujet
Sinon pour la petite histoire, je fait du jeu de role depuis de nombreuses années. Mais je n'avais jamais tenter l'aventure sur forum, donc c'est une première pour moi. Je m'excuse par avance pour mon orthographe et ma conjugaison, mais je ferais au mieux. Je sais que cela peux jouer sur les batailles, mais je ferrais avec.)